Robot and Frank

Bande-annonce :
L’écran fantastique : « Ce film [est] émouvant, simple et sincère, porté par des acteurs de premier plan et un scénario tout en finesse. (...) Dans la peau du personnage principal, le magnifique Frank Langella est parfait. »
DevilDead : « Si le film brasse pas mal de thèmes profonds, il les inscrit en filigrane dans une histoire d’une grande simplicité lorgnant vers la comédie dramatique et même, en quelque sorte, vers le thriller policier. Robot and frank se montre donc plutôt intelligent dans son traitement tout en restant un spectacle fort sympathique et distillant même de véritables passages très émouvants. »
Première : « Mineur mais attachant. »
Excessif : « Sans en avoir l'air, avec une légèreté de chaque instant, le film, faussement gentil et secrètement anxieux, pose de réelles questions contemporaines en s'attachant à un vieil homme abandonné de tous qui voit l'univers qu'il a connu jusqu'ici (les enfants, les repères...) s'écrouler. »
Les Inrockuptibles : « Un conte philosophique sur la déshumanisation technologique qui mêle tendresse et acidité. »
Télérama : « un film qu'on voit sans déplaisir et qu'on oublie sans effort. »
The Oregonian

Bande-annonce :
Oh my gore ! : « The Oregonian et son univers lynchéen insondable laissent passablement perplexe, s'adressant avant tout à un public féru de cinéma expérimental. »
Devil dead : « si nous n’avons pas vraiment apprécié le métrage, en tant que film, au moins, on l’a vécu pleinement sur grand écran et, en soi, c’est une expérience pour la moins particulière ! »
Mad movies : « on peut trouver le temps un peu long par moment, mais l’aventure s’avèrera au final réjouissante pour les spectateurs-voyageurs. »
Excessif : « Affichant un mépris souverain envers les conventions usuelles du récit, The Oregonian ne raconte rien et ne nous épargne rien (agression sonore, pose gratuite, emprunts à David Lynch), mais ça fait partie de son charme. »
Le Monde : « c'est sans doute dans sa dimension documentaire qu'il est le plus impressionnant. Tourné dans le nord-ouest des Etats-Unis, il montre une nature sombre, humide, menaçante et pourrissante, rarement vue comme cela au cinéma. »
Telerama : « Lorsque surgit le énième gugusse éclairé en contre-plongée, le malaise — réel, au départ — fait place à l'ennui. N'est pas Lynch qui veut. »
Sylvain Fontaine