Elle s'appelle Ruby

Bande-annonce :
Brain damaged : « Le film est agréable et fait son travail, à savoir déconnecter le spectateur pendant près de 1h45 et le plonger dans une histoire d’amour improbable.
Première : « Six ans après Little Miss Sunshine, Jonathan Dayton et Valerie Faris rempilent, avec la main moins heureuse, pour ce petit film indé qui hésite perpétuellement entre comédie romantique très French friendly (au secours, la BO !) et drame « charliekaufmanien » [auteur de Eternal Sunshine of the Spotless Mind,], la moitié du cerveau en moins. »
Le Canard enchainé : « Déroulant les quiproquos et les fantasmes induits par ce postulat loufoque, cette fable sur la création se révèle cruelle pour l’écrivain : son œuvre ne lui appartient pas. »
Télérama : « En vain, on guette l'étincelle comique, du rythme ou un peu de vitriol. »
Le Monde : « Scénariste, productrice, actrice principale, Zoé Kazan laisse éclater son talent dans une fantaisie que galvanise une écriture singulière et inspirée. »
Exam

Bande-annonce :
Nerdalors : « l’idée est géniale mais pas de rythme, une ambiance qui ne peut décoller, une action aussi plate que l’encéphalogramme de mon cactus. »
Première : « Le concept, aussi prometteur soit-il, finit par tourner en rond, jusqu’à un dénouement des plus banals. »
L’Express : « Les acteurs ne sont pas forcément des cadors, certaines péripéties s'étirent un peu, mais force est de constater que Stuart Hazeldine sait mener sa barque en huis clos. Sitôt vu, sitôt oublié. Mais avec plaisir. »
Télérama : « cette parabole théâtrale sur le côté obscur de la nature humaine est trop caricaturale, trop artificielle pour être dérangeante. »
Mortem

Bande-annonce :
Pixagain : « Réflexion sur les états humains, les rapports entre les corps, le film magnifie ses personnages pour une oeuvre marquante et bluffante. »
Première : « Tourné en noir et blanc, onirique, pesant, très lent, porté par une partition envoûtante, Mortem se place avec courage dans la niche d’un cinéma d’épouvante érotique à l’ancienne – voire cheap – qui cite aussi bien Franju que Jean Rollin, Bergman que le fantastique décadent. »
Le Monde : « Sans doute y a-t-il trop de tout, trop de passion et trop peu d'ordre. Mais le charme singulier qu'il exhale tient à cette combinaison particulière d'extrêmes. »
Télérama : « Un gag ? Probablement. Ou bien alors le nanar de l’année. »
Sylvain Fontaine