Même s’il a rencontré un petit succès critique, Jeffrey Ford fait partie de ces auteurs anglo-saxons encore peu connus chez nous. Adepte des intrigues souvent psychologiques et après l’excellent Physiognomy (qui a quand même quelques années maintenant), il a la réputation d’être un écrivain pas toujours évident à suivre. Sans connaître Galaxies, on pourrait s’étonner de le voir à l’honneur dans ce numéro. Mais depuis le temps, on sait que la revue a l’habitude de mettre en avant des auteurs qui l’intéressent sans vraiment se soucier de leur notoriété. Et c’est très bien comme ça...
Ils ont raison !
Et effectivement, en lisant la nouvelle de Jeffrey Ford, on se dit que le choix d’un dossier sur lui est amplement justifié. Dans sa nouvelle sur un enfant atteint d’une maladie très rare, il fait preuve de sensibilité et d’originalité dans un récit plutôt psychologique. Une vraie marque de fabrique chez lui. En tout cas un texte qui mérite qu’on y jette un coup d’œil.
Même chose quelques pages auparavant avec l’étonnant texte de Fabien Tournel dans lequel les joueurs de foot sont devenus de vraies entreprises cotées en Bourse avec toutes les dérives que cela peut impliquer.
Autre satisfaction, le texte d’Alain Damasio qui en quelques lignes prouve que la short story peut avoir du fond...
Beau travail
On l’a dit et redit, Galaxies fait du bon travail. Ce numéro 38 en est une nouvelle fois la preuve. Ce n’est maintenant plus vraiment une surprise. Il y a de quoi se régaler avec des textes de qualité. Et même les récits de Claire & Robert Belmas et d’Olivier Paquet, bien que classiques avec des thèmes déjà explorés, tiennent assez la route pour que l’on prenne plaisir à les lire. Encore un bon numéro.
Ils ont raison !
Et effectivement, en lisant la nouvelle de Jeffrey Ford, on se dit que le choix d’un dossier sur lui est amplement justifié. Dans sa nouvelle sur un enfant atteint d’une maladie très rare, il fait preuve de sensibilité et d’originalité dans un récit plutôt psychologique. Une vraie marque de fabrique chez lui. En tout cas un texte qui mérite qu’on y jette un coup d’œil.
Même chose quelques pages auparavant avec l’étonnant texte de Fabien Tournel dans lequel les joueurs de foot sont devenus de vraies entreprises cotées en Bourse avec toutes les dérives que cela peut impliquer.
Autre satisfaction, le texte d’Alain Damasio qui en quelques lignes prouve que la short story peut avoir du fond...
Beau travail
On l’a dit et redit, Galaxies fait du bon travail. Ce numéro 38 en est une nouvelle fois la preuve. Ce n’est maintenant plus vraiment une surprise. Il y a de quoi se régaler avec des textes de qualité. Et même les récits de Claire & Robert Belmas et d’Olivier Paquet, bien que classiques avec des thèmes déjà explorés, tiennent assez la route pour que l’on prenne plaisir à les lire. Encore un bon numéro.