Par une curieuse coïncidence historique, Bifrost et Galaxies sont nées la même année en 1996. Les deux revues fêtent donc leurs 10 ans en 2006 avec des numéros spéciaux plutôt musclés. Côté Galaxies, on affiche fièrement pour ce trente-neuvième anniversaire 256 pages, soit une bonne soixantaine de plus qu’à l’habitude, avec une superbe couverture d’Hubert de Lartigue (ne passez pas à côté !)
Robert Reed, Kathleen Ann Goonan et Norman Spinrad
Les trois nouvelles stars de ce recueil sont celles de Robert Reed, Kathleen Ann Goonan et Norman Spinrad. En tout cas, elles valent à elles-seules la lecture de ce numéro 39 de Galaxies. Robert Reed d’abord, nous raconte l’étrange rencontre entre une voleuse et son idole, un scientifique qu’elle s’apprêtait à piller. Rencontre également avec Kathleen Ann Goonan entre un jeune homme et le fantôme de la dernière princesse d’Hawaï. C’est lent, sentimental, un peu mélancolique et prenant. Et puis le dernier de ces trois textes est également celui d’une rencontre. Cette fois, c’est celle de l’humanité avec les Extra-terrestres narrés par Norman Spinrad. La chute est totalement innatendue et réussie. Et en dehors de ces nouvelles, celles de Raymond Iss ou Alastair Reynolds méritent également un petit coup d’œil. Elles sont toutes les deux de qualités même si elles sont un cran en dessous des trois autres.
Un chouette anniversaire
Sans fanfare ni trompette, Galaxies fête dignement son dixième anniversaire avec la qualité et le sérieux qu’on connaît à la revue. Il y a une nouvelle fois de quoi se faire plaisir dans ces pages. On en reprendrait bien pour dix ans de plus.
Robert Reed, Kathleen Ann Goonan et Norman Spinrad
Les trois nouvelles stars de ce recueil sont celles de Robert Reed, Kathleen Ann Goonan et Norman Spinrad. En tout cas, elles valent à elles-seules la lecture de ce numéro 39 de Galaxies. Robert Reed d’abord, nous raconte l’étrange rencontre entre une voleuse et son idole, un scientifique qu’elle s’apprêtait à piller. Rencontre également avec Kathleen Ann Goonan entre un jeune homme et le fantôme de la dernière princesse d’Hawaï. C’est lent, sentimental, un peu mélancolique et prenant. Et puis le dernier de ces trois textes est également celui d’une rencontre. Cette fois, c’est celle de l’humanité avec les Extra-terrestres narrés par Norman Spinrad. La chute est totalement innatendue et réussie. Et en dehors de ces nouvelles, celles de Raymond Iss ou Alastair Reynolds méritent également un petit coup d’œil. Elles sont toutes les deux de qualités même si elles sont un cran en dessous des trois autres.
Un chouette anniversaire
Sans fanfare ni trompette, Galaxies fête dignement son dixième anniversaire avec la qualité et le sérieux qu’on connaît à la revue. Il y a une nouvelle fois de quoi se faire plaisir dans ces pages. On en reprendrait bien pour dix ans de plus.