L'auteur

Serge Rubin est professeur en région parisienne et son premier public fut ses élèves à qui il raconta beaucoup d’histoires. « Il n’y a pas que les shérifs qui portent une étoile » est son premier roman.

L’histoire

Tout se déroule en 1942.Deux enfants, Jacques Poulain et Myriam pfelbaum ,amis proches, habitent dans le même immeuble à Paris. Myriam est juive et vit seule avec sa mère. Depuis quelques temps, Jacques a remarqué une étoile cousue sur tous les habits de son amie. Il ne comprend pas.

C’est alors que tout se précipite et se complique. La mère de Myriam est arrêtée et déportée. Les enfants commencent à comprendre, et, accompagnés du père du jeune garçon, ils subissent toutes les méfaits de la guerre.

Mon avis

Pour commencer, j’adore le titre. On y ressent à la fois la dureté de la guerre mais aussi le cœur d’un enfant qui se rend compte de la vraie signification de cette étoile jaune. J’aime beaucoup l’idée du rapport entre l’étoile des juifs et celle des shérifs. Je pense que c’est un truc auquel j’aurais pensé si je vivais à cette époque et que j’étais plus jeune. Cependant, ce livre est plutôt destiné à la jeunesse car il me semble qu’il ne montre pas la vraie dureté de la guerre, il ment un peu sur certaines choses pour ne pas choquer, je pense.

Mais pour lire ce livre, même en jeunesse, il faut avoir envie d’en savoir plus sur la guerre et s’attendre à un peu de vérité, car c’est tout de même un peu dur pour un jeune enfant.

Il y a des passages un peu ennuyeux mais d’autres très « prenants » et touchants. Ce que je n’ai pas aimé, c’est que parfois, je ne ressens pas assez les sentiments des personnages principaux. Sans mon imagination, j’aurai vu des marionnettes sans sentiments au milieu d’un monde horrible. C’est tout de même un des plus beaux romans que j’ai pu lire sur la guerre.

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