ActuSF : D'abord première question sur le contexte. Les chiffres en librairie ne sont pas très bons pour l'édition dans son ensemble, comment abordes-tu cette rentrée et les mois qui viennent ?
Dimitri Pawlowski : Eh bien, dans un mélange de prudence et d'envie de se dépasser. Prudence car les lecteurs sont hésitants, les libraires retournent beaucoup, et qu'il faut donc faire attention à ne pas se retrouver dans le rouge à cause de cela. Envie de se dépasser car c'est en proposant des textes de qualité que la maison d'édition parviendra à perdurer. Développer de nouveaux modes de diffusion (les éditions HSN se penchent sérieusement sur le numérique), travailler toujours aussi ardemment les textes que nous proposons, et améliorer notre communication, c'est un ensemble de défis excitants pour les mois à venir qui nous aiderons à pérenniser la maison d'édition.
ActuSF : Cela fait désormais un peu plus d'un an que la maison d'édition existe, quel est ton bilan ?
Dimitri Pawlowski : On est dans le plutôt positif : les livres se suffisent globalement à eux-mêmes, fonctionnent très bien lors des rencontres avec le public sur salon, et la maison d'édition commence à changer de statut, basculant du "nouveau venu qui va tenir deux mois" à "une vraie maison d'édition". Cela contribue aussi à quelque chose de très bienvenu : les lecteurs hésitent moins à se tourner vers nos publications, les libraires sont peut-être un peu moins frileux - ce qui compense à mon sens un peu les conditions plutôt médiocres en librairie en ce moment. Il y a plein de projets, plein de choses à améliorer, développer, et ainsi de suite, c'est donc un bilan excitant pour l'avenir, au final.
ActuSF : La nouveauté chez toi, c'est la sortie du « Xéol », troisième tome du « Cycle d’Alamänder » d'Alexis Flamand. Que peux-tu nous dire sur ce volume ? Que vont y trouver les lecteurs qui ont déjà lu les deux premiers tomes ?
Dimitri Pawlowski : Je laisse pour cela la parole à Alexis, qui résume assez bien la chose pour les lecteurs qui ont aimé les deux premiers tomes : " Cher lecteur d'Alamänder, Veuillez trouver ci-dessous le contenu du tome 3 - "Le Xéol" : - 352 pages - 1 procès de Retzel - 1 connaissance approfondie des Xéols - 1 nouvelle forme de magie - 1 armée mehnzotaine - Plus de 7 révélations - 12 rebondissements minimum - 87 % d'action (tome 1 : 54 %, tome 2 : 68 %) - 1 vilebrequin Merci de vous assurer de la présence de ces différents éléments dans le livre avant de commencer votre lecture. (Note : cette lecture nécessite des yeux et un cerveau, non-inclus.) En vous remerciant d'avoir choisi Alamänder." Je rajouterais à cela que c'est le tome de la confirmation d'un talent français d'exception, qui mérite vraiment d'être découvert : mêler ainsi humour et fantasy épique sans tomber d'un côté ou de l'autre est un acte de haute voltige littéraire haut de gamme.
ActuSF : Y aura-t-il d'autres parutions d'ici la fin de l'année ?
Dimitri Pawlowski : En effet, les deux premiers volumes de la saga de dark fantasy La Dernière Terre, qui est un projet un peu particulier, en ce qu'il est peut-être un des plus ambitieux de la maison d'édition : ce seront de gros tomes, comprenant des cahiers couleur d'illustrations, et une saga prévue en six volumes, autour de laquelle nous préparons plein de choses. À court terme, il y aura notamment deux illustrations originales à gagner pour les lecteurs qui acquerront le livre par le biais du site de la maison d'édition (editions-hsn.fr), probablement un packaging collector, etc. Ce texte est écrit par Magali Villeneuve (illustratrice sur Magic, et les jeux de cartes du Trône de fer, Seigneur des anneaux, Star Wars, etc.) et co-scénarisé par Alexandre Dainche (illustrateur tout comme elle sur les mêmes licences, à l'exception de Magic), qui dévoile qu'elle est aussi douée pour manier la plume que le pinceau. L'idée est de proposer une dark fantasy centrée sur les personnages "à la française", une œuvre riche et à l'écriture ciselée.
ActuSF : Quels sont les prochains salons auxquels la maison d'édition participera ? Et les prochaines dédicaces des auteurs ?
Dimitri Pawlowski : Il y aura très certainement d'autres dates et événements auxquels nous rencontrer, ou rencontrer un ou l'autre de nos auteurs, car c'est un point que la maison d'édition veut développer un maximum, mais, pour l'heure, je peux déjà annoncer la présence d'Alexis Flamand à un salon à Saint-Estèphe début octobre, et une très probable soirée de lancement pour La Dernière Terre au Dernier Bar avant la fin du monde à Paris, en présence des auteurs ainsi que des illustrateurs amis qui ont participé au cahier couleur des romans (illustrateurs de BD, chez Disney, que des grands noms !).
Dimitri Pawlowski : Eh bien, dans un mélange de prudence et d'envie de se dépasser. Prudence car les lecteurs sont hésitants, les libraires retournent beaucoup, et qu'il faut donc faire attention à ne pas se retrouver dans le rouge à cause de cela. Envie de se dépasser car c'est en proposant des textes de qualité que la maison d'édition parviendra à perdurer. Développer de nouveaux modes de diffusion (les éditions HSN se penchent sérieusement sur le numérique), travailler toujours aussi ardemment les textes que nous proposons, et améliorer notre communication, c'est un ensemble de défis excitants pour les mois à venir qui nous aiderons à pérenniser la maison d'édition.
ActuSF : Cela fait désormais un peu plus d'un an que la maison d'édition existe, quel est ton bilan ?
Dimitri Pawlowski : On est dans le plutôt positif : les livres se suffisent globalement à eux-mêmes, fonctionnent très bien lors des rencontres avec le public sur salon, et la maison d'édition commence à changer de statut, basculant du "nouveau venu qui va tenir deux mois" à "une vraie maison d'édition". Cela contribue aussi à quelque chose de très bienvenu : les lecteurs hésitent moins à se tourner vers nos publications, les libraires sont peut-être un peu moins frileux - ce qui compense à mon sens un peu les conditions plutôt médiocres en librairie en ce moment. Il y a plein de projets, plein de choses à améliorer, développer, et ainsi de suite, c'est donc un bilan excitant pour l'avenir, au final.
ActuSF : La nouveauté chez toi, c'est la sortie du « Xéol », troisième tome du « Cycle d’Alamänder » d'Alexis Flamand. Que peux-tu nous dire sur ce volume ? Que vont y trouver les lecteurs qui ont déjà lu les deux premiers tomes ?
Dimitri Pawlowski : Je laisse pour cela la parole à Alexis, qui résume assez bien la chose pour les lecteurs qui ont aimé les deux premiers tomes : " Cher lecteur d'Alamänder, Veuillez trouver ci-dessous le contenu du tome 3 - "Le Xéol" : - 352 pages - 1 procès de Retzel - 1 connaissance approfondie des Xéols - 1 nouvelle forme de magie - 1 armée mehnzotaine - Plus de 7 révélations - 12 rebondissements minimum - 87 % d'action (tome 1 : 54 %, tome 2 : 68 %) - 1 vilebrequin Merci de vous assurer de la présence de ces différents éléments dans le livre avant de commencer votre lecture. (Note : cette lecture nécessite des yeux et un cerveau, non-inclus.) En vous remerciant d'avoir choisi Alamänder." Je rajouterais à cela que c'est le tome de la confirmation d'un talent français d'exception, qui mérite vraiment d'être découvert : mêler ainsi humour et fantasy épique sans tomber d'un côté ou de l'autre est un acte de haute voltige littéraire haut de gamme.
ActuSF : Y aura-t-il d'autres parutions d'ici la fin de l'année ?
Dimitri Pawlowski : En effet, les deux premiers volumes de la saga de dark fantasy La Dernière Terre, qui est un projet un peu particulier, en ce qu'il est peut-être un des plus ambitieux de la maison d'édition : ce seront de gros tomes, comprenant des cahiers couleur d'illustrations, et une saga prévue en six volumes, autour de laquelle nous préparons plein de choses. À court terme, il y aura notamment deux illustrations originales à gagner pour les lecteurs qui acquerront le livre par le biais du site de la maison d'édition (editions-hsn.fr), probablement un packaging collector, etc. Ce texte est écrit par Magali Villeneuve (illustratrice sur Magic, et les jeux de cartes du Trône de fer, Seigneur des anneaux, Star Wars, etc.) et co-scénarisé par Alexandre Dainche (illustrateur tout comme elle sur les mêmes licences, à l'exception de Magic), qui dévoile qu'elle est aussi douée pour manier la plume que le pinceau. L'idée est de proposer une dark fantasy centrée sur les personnages "à la française", une œuvre riche et à l'écriture ciselée.
ActuSF : Quels sont les prochains salons auxquels la maison d'édition participera ? Et les prochaines dédicaces des auteurs ?
Dimitri Pawlowski : Il y aura très certainement d'autres dates et événements auxquels nous rencontrer, ou rencontrer un ou l'autre de nos auteurs, car c'est un point que la maison d'édition veut développer un maximum, mais, pour l'heure, je peux déjà annoncer la présence d'Alexis Flamand à un salon à Saint-Estèphe début octobre, et une très probable soirée de lancement pour La Dernière Terre au Dernier Bar avant la fin du monde à Paris, en présence des auteurs ainsi que des illustrateurs amis qui ont participé au cahier couleur des romans (illustrateurs de BD, chez Disney, que des grands noms !).