La couverture montre une jeune fille assise sur un petit ponton ayant la tête légèrement baissée et regardant au loin.
L'auteure
Tania Kjeldset est un auteur et une illustratrice norvégienne vivant à Oslo et L’été de mes 15 ans est son neuvième livre. Elle a écrit d’autres œuvres qui sont :
_ 1995: Eplemadammen
_ 1997: Kapen
_ 1998: En heks, en heks
_ 1998: Glansbildeballen
_ 1999: Harfine floker
_ 2000: I dromme kan alting skje
_ 2001: Stine, klasse 1A
_ 2002: Stine og skoletannlegen
_ 2003: Stine kan ikke svomme
_ 2004: Heia Stine!
_ 2005: Kanskje kommer aldri
_ 2009: Juli
Elle a terminé une thèse de diplôme en 1989.
L’histoire
C’est l’été et comme tous les étés, Elin, qui a 15 ans, se rend sur l’île norvégienne de sa grand-mère pour y passer tout le mois de juillet. Comme d’habitude, elle rejoint sa même bande d’amis et fait exactement les mêmes activités mais ce sera différent cet été-ci car elle y rencontrera Carl. Comment se passera l’été d’Elin ?
C’est l’auteur qui raconte l’histoire.
L’histoire se déroule sur une île norvégienne lors d’un mois de juillet. Les personnages principaux sont Elin et Carl.
Elin souhaiterait qu’il ait du nouveau dans sa vie. Elle est préoccupée par ce qu’a fait son ancienne amie Sara.
Carl aime le dessin. Il est préoccupé par l’addiction de sa mère pour l’alcool.
Les évènements principaux sont :
_ La photo qui a été prise
_ La rencontre entre Elin et Carl
_ La découverte de la rupture entre Mikkel et Thérèse
_ La fête organisée
_ La journée entre amoureux d’Elin et Carl
_ L’amitié qui est rompue entre Elin et Sara
_ L’incident de la mère de Carl
_ Le départ de la mère de Carl
Ce que je pense :
4. J’ai aimé le livre car l’histoire en elle-même est intéressante mais ce qu’il manque c’est un peu plus de péripéties. L’auteur aurait peut-être dû légèrement aggraver ses péripéties pour que le lecteur soit encore plus captivé.
Le livre a répondu à mes attentes. J’avais lu le résumé de la quatrième de couverture et « l’énigme » du récit est « éclaircie ».
L’histoire finit bien pour la quasi-totalité des personnages.
Non, ça n'est pas important pout moi que le récit se termine bien. Dans ce genre de récit il vaut mieux que ça se termine bien plutôt qu’une fin dramatique.
Non, je n’ai à vrai dire ressenti aucun sentiment. Les sentiments ne sont pas assez expliqués dans le récit pour que le lecteur puisse les ressentir.
Je pourrai sûrement conseiller cette œuvre car elle reste intéressante à lire et à partager.
Je la conseillerai à des adolescents car ils pourraient comprendre ce que veut transmettre l’auteur.
Je dirai que ce récit est un récit réaliste.
Argumentation :
_ Le sujet est réaliste puisque l’auteur nous raconte des évènements qui ont ou qui auraient été vécus.
_ Les personnages sont tout à fait réalistes. Leur description et leur caractère présentent des traits tirés de l’ordinaire.
_ La morale est présente et dans ce récit elle est qu’il y a un temps où tout et tout le monde change, que les amis peuvent devenir des ennemis, qu’on apprend des choses dont on n’aurait pas soupçonné l’existence, et que tout simplement la vie se complique.
_ Le style fait que le statut de l’auteur est externe mais que son point de vue est omniscient.
Mon avis
Je me sens proche du personnage nommé Elin car elle rencontre des petits problèmes que j’ai moi-même rencontrés.
Il aurait peut-être été plus simple de faire de ce récit un récit épistolaire pour faciliter la lecture et la compréhension du livre.
Le milieu de l’action est complètement différent du mien. Cela reste un critère important car un milieu se rapprochant de celui du lecteur lui permet de mieux se projeter.
Elle est légèrement complexe à comprendre au début car on ne comprend pas pourquoi on change de sujet d’un chapitre à un autre mais en avançant dans le récit on comprend ce qui les relie.
Je n’ai pas retrouvé d’éléments accrocheurs dans ce récit.
Je n’ai rien appris de nouveau et ce n’est pas un critère que je trouve important mais il est vrai que c’est toujours bien dans un récit d’avoir appris quelque chose de nouveau ou d’en tirer une leçon.