Christine Féret-Fleury écrit des œuvres jeunesse depuis 1996 et a commencé sa carrière d’éditrice chez Gallimard. Très prolifique, ce roman est pourtant plus particulier car elle l'a coé-crit avec sa fille, Madeleine. Les deux femmes n’en sont pas à leur première invention, mais c’est la première fois que l’aventure qu’elles imaginent ensemble se concrétise dans les pages d’un roman. Atlantis est une trilogie dont L’Héritière est le premier tome.
La mystérieuse disparition du professeur Pullman et de sa femme
Adel est une petite orpheline de treize ans qui vit à Paris. Ces parents ont disparu lors d’une expédition en Norvège et depuis cinq années, elle vit dans un orphelinat crasseux et lugubre. La petite fille est fantasque et se réfugie dans le grenier pour lire, rêver et échapper aux responsables de l’orphelinat.
Son histoire pourrait être simple, elle pourrait devenir couturière, femme de chambre ou tout autre emploi peu palpitant. Mais le destin est plus audacieux que ça … Adel va découvrir, caché dans une malle ayant appartenu à ses parents, un mystérieux médaillon.
Un homme mystérieux très inquiétant
Les évènements vont pousser Adel à s’enfuir de l’orphelinat. Elle est alors poursuivie par un homme boiteux et étrange, vêtu de noir. C’est à partir de ce moment que l’aventure prend de l’ampleur. Des gens mal intentionnés semblent s’intéresser de très près à Adel et son médaillon.
Depuis qu'Adel a découvert le médaillon, il ne se passe que des choses étranges dans sa vie, elle commence à avoir des visions et fait des rêves étranges. La jeune fille découvre que le médaillon lui donne des pouvoirs sur un autre monde. Ce monde semble peuplé d’animaux étranges et dangereux. Là, elle va rencontrer sa future meilleure amie, une jeune princesse de quelques centimètres de haut, qui ne la quittera plus.
Adel doit découvrir ce qui se passe autour d’elle, pourquoi est-elle poursuivie, que sont réellement devenus ses parents ? Elle va suivre la piste de ses parents en direction de la Norvège, le dernier endroit où ses parents ont été vus. Mais Adel va devoir être prudente car l’homme en noir la poursuit avec acharnement.
Un monde parallèle bien réel
Cette première partie de l’histoire se passe majoritairement dans notre monde. Le lecteur ne découvre que peu à peu le monde dans lequel Adel peut se rendre grâce au mystérieux médaillon. Le médaillon amène au récit une part de rêve et de fantastique qui rend le récit un peu plus romanesque.
Dans cette histoire de nombreux petits récits font penser à l’univers de Tolkien, que ce soit les êtres lilliputiens ou une héroïne porteuse d’un bijou magique. La quête initiatique de l’héroïne va la rapprocher du mystère de l’Atlantide.
Le trajet d’Adel est très mouvementé et même parfois un peu dur pour les plus jeunes lecteurs. En effet, quelques meurtres et règlements de compte pourraient choquer les plus jeunes et passionner les pré adolescents.
Pour un récit écrit à quatre mains, ce roman est parfaitement harmonisé. Le style est fluide et très agréable.C'est un vrai puzzle, qui plaira aux jeunes lecteurs. Un petit livret est fourni avec le roman. Celui-ci est une copie du journal du professeur Pullman, le père d’Adel. Cette petite attention rend le roman encore plus ludique et représente un petit plus très agréable.
La mystérieuse disparition du professeur Pullman et de sa femme
Adel est une petite orpheline de treize ans qui vit à Paris. Ces parents ont disparu lors d’une expédition en Norvège et depuis cinq années, elle vit dans un orphelinat crasseux et lugubre. La petite fille est fantasque et se réfugie dans le grenier pour lire, rêver et échapper aux responsables de l’orphelinat.
Son histoire pourrait être simple, elle pourrait devenir couturière, femme de chambre ou tout autre emploi peu palpitant. Mais le destin est plus audacieux que ça … Adel va découvrir, caché dans une malle ayant appartenu à ses parents, un mystérieux médaillon.
Un homme mystérieux très inquiétant
Les évènements vont pousser Adel à s’enfuir de l’orphelinat. Elle est alors poursuivie par un homme boiteux et étrange, vêtu de noir. C’est à partir de ce moment que l’aventure prend de l’ampleur. Des gens mal intentionnés semblent s’intéresser de très près à Adel et son médaillon.
Depuis qu'Adel a découvert le médaillon, il ne se passe que des choses étranges dans sa vie, elle commence à avoir des visions et fait des rêves étranges. La jeune fille découvre que le médaillon lui donne des pouvoirs sur un autre monde. Ce monde semble peuplé d’animaux étranges et dangereux. Là, elle va rencontrer sa future meilleure amie, une jeune princesse de quelques centimètres de haut, qui ne la quittera plus.
Adel doit découvrir ce qui se passe autour d’elle, pourquoi est-elle poursuivie, que sont réellement devenus ses parents ? Elle va suivre la piste de ses parents en direction de la Norvège, le dernier endroit où ses parents ont été vus. Mais Adel va devoir être prudente car l’homme en noir la poursuit avec acharnement.
Un monde parallèle bien réel
Cette première partie de l’histoire se passe majoritairement dans notre monde. Le lecteur ne découvre que peu à peu le monde dans lequel Adel peut se rendre grâce au mystérieux médaillon. Le médaillon amène au récit une part de rêve et de fantastique qui rend le récit un peu plus romanesque.
Dans cette histoire de nombreux petits récits font penser à l’univers de Tolkien, que ce soit les êtres lilliputiens ou une héroïne porteuse d’un bijou magique. La quête initiatique de l’héroïne va la rapprocher du mystère de l’Atlantide.
Le trajet d’Adel est très mouvementé et même parfois un peu dur pour les plus jeunes lecteurs. En effet, quelques meurtres et règlements de compte pourraient choquer les plus jeunes et passionner les pré adolescents.
Pour un récit écrit à quatre mains, ce roman est parfaitement harmonisé. Le style est fluide et très agréable.C'est un vrai puzzle, qui plaira aux jeunes lecteurs. Un petit livret est fourni avec le roman. Celui-ci est une copie du journal du professeur Pullman, le père d’Adel. Cette petite attention rend le roman encore plus ludique et représente un petit plus très agréable.