Avec Les Annales de la Compagnie noire, Glen Cook régale depuis 1998 une cohorte d’amateurs français qui s’agrandit à chaque parution d’un nouveau volume. A ce jour, huit romans de ce cycle ont été publié chez L’Atalante sur la dizaine écris depuis 1984. Après une incursion dans le space opera avec Le Dragon ne dort jamais, l’auteur s’est attelé à une série percutante et drôle de polar-fantasy : Garrett, Détective privé.
Noir, c’est noir…
Après une mission assez catastrophique, l’armée de mercenaires la plus redoutable du monde vient de se faire embaucher par un mystérieux intermédiaire pour servir un être plus mystérieux encore : La Dame. Ils vont donc entrer dans un conflit qui les dépasse entre les armées de cette Dame et ses farouches opposants. Ils n’ont d’ailleurs sans doute jamais aussi mal choisi leur employeur qui a tout l’air d’incarner terreur et destruction.
Toubib relate donc cette période éprouvante de l’histoire de la Compagnie Noire, retranscrivant les combats avec son lot de voyages, de peurs, de petites victoires et de grandes déconvenues.
Une série nommé désir
Contrairement à Garrett, Détective privé dont les enquêtes peuvent se lire indépendamment, La Compagnie Noire ne peut s’apprécier pleinement qu’en lisant dans l’ordre les annales. Ce premier volume pourra demander un certain effort dans sa première moitié afin de comprendre globalement l’univers et la place de cette armée de mercenaires dans celui-ci. Le lecteur verra ce monde médiéval baigné de magie émerger de la brume, comprendra peu à peu qui sont les protagonistes de cette guerre hallucinante et au final s’attachera à cette galerie de salauds qui ont à leur tête des petits gars répondant au doux sobriquets de Toubib, Corbeau, Qu’un-Œil, Gobelin et bien d’autres encore…
La plus excitante série de fantasy
Prenez garde, les lecteurs qui ont mis le doigt dans cet engrenage s’en mordent encore ceux qui leur restent : certains avouent avoir lu le premier volume plus de sept fois, d’autres, après s’en être fait un par semaine ont voulu étriper leur libraire préféré lorsqu’ils sont arrivés au cliffhanger final de Elle est les ténèbres.
Noir, c’est noir…
Après une mission assez catastrophique, l’armée de mercenaires la plus redoutable du monde vient de se faire embaucher par un mystérieux intermédiaire pour servir un être plus mystérieux encore : La Dame. Ils vont donc entrer dans un conflit qui les dépasse entre les armées de cette Dame et ses farouches opposants. Ils n’ont d’ailleurs sans doute jamais aussi mal choisi leur employeur qui a tout l’air d’incarner terreur et destruction.
Toubib relate donc cette période éprouvante de l’histoire de la Compagnie Noire, retranscrivant les combats avec son lot de voyages, de peurs, de petites victoires et de grandes déconvenues.
Une série nommé désir
Contrairement à Garrett, Détective privé dont les enquêtes peuvent se lire indépendamment, La Compagnie Noire ne peut s’apprécier pleinement qu’en lisant dans l’ordre les annales. Ce premier volume pourra demander un certain effort dans sa première moitié afin de comprendre globalement l’univers et la place de cette armée de mercenaires dans celui-ci. Le lecteur verra ce monde médiéval baigné de magie émerger de la brume, comprendra peu à peu qui sont les protagonistes de cette guerre hallucinante et au final s’attachera à cette galerie de salauds qui ont à leur tête des petits gars répondant au doux sobriquets de Toubib, Corbeau, Qu’un-Œil, Gobelin et bien d’autres encore…
La plus excitante série de fantasy
Prenez garde, les lecteurs qui ont mis le doigt dans cet engrenage s’en mordent encore ceux qui leur restent : certains avouent avoir lu le premier volume plus de sept fois, d’autres, après s’en être fait un par semaine ont voulu étriper leur libraire préféré lorsqu’ils sont arrivés au cliffhanger final de Elle est les ténèbres.