Terry Pratchett est un monstre de la fantasy ! Publiées dans des dizaines de pays, ses Annales du Disque Monde ont fait sa renommée et son succès. On est désormais bien loin de sa première nouvelle éditée en 1963 et de son premier livre en 1971. En dehors du Disque Monde, on peut également lire le fabuleux De bons présages avec Neil Gaiman ou encore Le Grand livre des Gnomes .
Elle court, elle court la rumeur
L'hiver, à Ankh-Morpork, les rumeurs circulent mieux que l'eau dans les canalisations gelées. Un rude après-midi, William de Worde troque par hasard sa lettre d'informations gravée pour ses cinq abonnés contre une centaine d'exemplaires imprimés. Il ne se doute pas de l'engrenage dans lequel il vient de mettre le doigt. Les rouages féroces de la presse mugissent et rugissent s'il ne leur donne pas une édition quotidienne. Heureusement la fortune lui sourit : une succession de coïncidences lui permet de recruter collaborateurs zélés et vendeurs à la criée.
Et surtout les événements se précipitent, fournissant articles palpitants, rebondissements et scoops. Le Patricien est accusé d'avoir tué son clerc. De Worde mène l'enquête avec ferveur et déontologie. En même temps, il lui faut lutter pour sauver son journal malgré la concurrence d'un tabloïd et les coups sournois du lobby des graveurs. L'apprenti reporter n'est pas au bout de ses peines...
Un 26ème épisode qui ne s'essouffle toujours pas
Mêlant enquête policière, plaidoyer contre le racisme, dilemme psychologique, caricature de la presse avec un humour omniprésent, Pratchett prouve avec ce 26eme épisode des Annales du Disque Monde qu'il ne s'essouffle pas. Le personnage du photographe vampire repenti qui a juré de ne plus boire du s... est particulièrement drôle. Les deux hommes de main sont tout aussi réussis comme par exemple la brute épaisse et naïve qui jure tous les deux mots et place son salut dans une pomme de terre au moment de mourir. Comme toujours dans les Annales du Disque Monde, la technologie est assurée par des diablotins; celui du dictaphone incarne certains travers des services consommateurs : fanfaron face aux esprits faibles, il devient obséquieux quand on élève la voix. Une intrigue dense et bien rythmée, des personnages attachants bien campés, la vérité vue par Pratchett est fort bonne à lire.
Elle court, elle court la rumeur
L'hiver, à Ankh-Morpork, les rumeurs circulent mieux que l'eau dans les canalisations gelées. Un rude après-midi, William de Worde troque par hasard sa lettre d'informations gravée pour ses cinq abonnés contre une centaine d'exemplaires imprimés. Il ne se doute pas de l'engrenage dans lequel il vient de mettre le doigt. Les rouages féroces de la presse mugissent et rugissent s'il ne leur donne pas une édition quotidienne. Heureusement la fortune lui sourit : une succession de coïncidences lui permet de recruter collaborateurs zélés et vendeurs à la criée.
Et surtout les événements se précipitent, fournissant articles palpitants, rebondissements et scoops. Le Patricien est accusé d'avoir tué son clerc. De Worde mène l'enquête avec ferveur et déontologie. En même temps, il lui faut lutter pour sauver son journal malgré la concurrence d'un tabloïd et les coups sournois du lobby des graveurs. L'apprenti reporter n'est pas au bout de ses peines...
Un 26ème épisode qui ne s'essouffle toujours pas
Mêlant enquête policière, plaidoyer contre le racisme, dilemme psychologique, caricature de la presse avec un humour omniprésent, Pratchett prouve avec ce 26eme épisode des Annales du Disque Monde qu'il ne s'essouffle pas. Le personnage du photographe vampire repenti qui a juré de ne plus boire du s... est particulièrement drôle. Les deux hommes de main sont tout aussi réussis comme par exemple la brute épaisse et naïve qui jure tous les deux mots et place son salut dans une pomme de terre au moment de mourir. Comme toujours dans les Annales du Disque Monde, la technologie est assurée par des diablotins; celui du dictaphone incarne certains travers des services consommateurs : fanfaron face aux esprits faibles, il devient obséquieux quand on élève la voix. Une intrigue dense et bien rythmée, des personnages attachants bien campés, la vérité vue par Pratchett est fort bonne à lire.