Ce n'est pas tous les jours qu'un jeu de rôle devient un film ! C'est ce qui est en train d'arriver à Polaris, un jdr créé par Philippe Tessier en 1997. On le trouve aujourd'hui chez Black Book tandis que la série de romans Cycle Azure est elle éditée aux éditions Leha.
L'histoire se déroule dans un futur post apo sur notre planète. Le réchauffement climatique ayant fait monter les eaux, ce qui reste de l'humanité vit sous la mer, tandis que sur les terres émergées se battent des monstres de toutes tailles.
Le réalisateur et producteur Nicolas Bary prépare donc cette adaptation. Il a travaille sur Bardot, Une sirène à Paris, Au bonheur des Ogres, Le Petit Spirou ou bien encore les enfants de Timpelbach. Il sera producteur sur ce projet. Le réalisateur sera Bruno Aveillan.
Pour le moment, aucune date ni casting n'ont été annoncés.
Voici la quatrième de couverture de Point Némo, le pemier tome de la série Polaris - Cycle Azure publié chez Léha.
"Six cents ans après la chute de l’Empire des Généticiens, terrassé par le rêve éphémère de l’Alliance Azure, des nations moribondes se disputent les ressources du dernier refuge de l’humanité : l’océan. Dans les ténèbres des profondeurs s’étendent des cités fantastiques issues de sciences défiant l’imagination, mais aussi des amas de structures et de modules vieillissants dans lesquels les populations tentent de survivre à un univers qui leur est totalement hostile.
Perdue en plein milieu du pôle maritime d’inaccessibilité du Gyre du Pacifique Sud, la Station Internationale Nemo est une oasis de lumière dans les abysses insondables de l’océan que l’Organisation des États Sous-Marins a décidé de démanteler. Mais ce qui devait être une mission de routine s’avère beaucoup plus périlleux que prévu.
Entre les installations délabrées qui menacent de s’effondrer à tout moment sous l’effet de la pression, le manque de ressources vitales et l’absence de plus en plus inquiétante de tout navire de ravitaillement, l’équipe envoyée sur place se retrouve contrainte de lutter pour survivre… sans se douter que, dans l’obscurité des abîmes, se tapissent bien d’autres dangers."
La chronique de 16h16