Karen Miller se fait connaitre en France avec La prophétie du Royaume de Lur dont Le mage du prince est le premier tome. Elle a aussi écrit une trilogie qui n'a pas encore été traduite : Godspeaker. De plus sous le pseudonyme de K. E. Mills elle a aussi rédigé 2 romans pour la série Stargate SG1
Le Prince et le pêcheur
Au royaume de Lur, Asher est un jeune pêcheur dans un petit village de la côte. Il décide de rejoindre la capitale pour tenter d'y gagner sa vie. Il part donc une nuit sans prévenir sa famille. Il a prévu d'y passer un an et de revenir chez lui pour acheter à son père un bateau de pêche.
Arrivé là bas la chance lui sourit et le voila embauché pour aider à s'occuper des chevaux du prince. Mais est ce vraiment de la chance ?
En effet une prophétie annonce l'arrivée d'un mage innocent qui entrainera la fin de tout. Le voici embarqué dans une histoire qui le dépasse totalement...
Nouvelle histoire de fantasy mais rien de nouveau à l'horizon...
Un jeune homme qui n'a rien demandé et une prophétie millénaire qui est sur le point de se réaliser. Voici les 2 ingrédients de base pour une histoire de fantasy. Le mage du prince est dans cette mouvance et Karen Miller exploite à fond cette ficelle. De plus, l'histoire du royaume de Lur nous est expliquée au fur et à mesure mais c'est sans grande surprise. Des êtres doués de magie ont dû fuir leur pays d'origine pour se réfugier derrière un mur érigé par la magie et contrôlé par le climat. Derrière le mur leur ennemi de toujours attend sagement sa vengeance.
L'histoire se lit très facilement. L'écriture coule toute seule dans un style agréable à lire et le contraste entre les différents personnages donne à ce roman une certaine vivacité appréciable. Karen Miller s'attarde particulièrement sur la relation entre Asher et le Prince Gar. Elle mets en avant leur amitié naissante un peu au détriment du reste et les personnages secondaires s'en retrouvent un peu atténués.
Afin de rendre encore plus crédible et vivant ses personnages, elle fait parler Asher avec un accent et des expressions de pêcheur de la côte. Ce phrasé peut choquer au début et déranger mais au final l'effet escompté est réussi.
La fin ouverte de ce premier roman est là pour tenir en haleine le lecteur et la construction en diptyque de ce roman évite que l'histoire s'épuise.
Voici un roman qui ne révolutionnera pas le genre mais qui reste malgré tout agréable à lire.
Le Prince et le pêcheur
Au royaume de Lur, Asher est un jeune pêcheur dans un petit village de la côte. Il décide de rejoindre la capitale pour tenter d'y gagner sa vie. Il part donc une nuit sans prévenir sa famille. Il a prévu d'y passer un an et de revenir chez lui pour acheter à son père un bateau de pêche.
Arrivé là bas la chance lui sourit et le voila embauché pour aider à s'occuper des chevaux du prince. Mais est ce vraiment de la chance ?
En effet une prophétie annonce l'arrivée d'un mage innocent qui entrainera la fin de tout. Le voici embarqué dans une histoire qui le dépasse totalement...
Nouvelle histoire de fantasy mais rien de nouveau à l'horizon...
Un jeune homme qui n'a rien demandé et une prophétie millénaire qui est sur le point de se réaliser. Voici les 2 ingrédients de base pour une histoire de fantasy. Le mage du prince est dans cette mouvance et Karen Miller exploite à fond cette ficelle. De plus, l'histoire du royaume de Lur nous est expliquée au fur et à mesure mais c'est sans grande surprise. Des êtres doués de magie ont dû fuir leur pays d'origine pour se réfugier derrière un mur érigé par la magie et contrôlé par le climat. Derrière le mur leur ennemi de toujours attend sagement sa vengeance.
L'histoire se lit très facilement. L'écriture coule toute seule dans un style agréable à lire et le contraste entre les différents personnages donne à ce roman une certaine vivacité appréciable. Karen Miller s'attarde particulièrement sur la relation entre Asher et le Prince Gar. Elle mets en avant leur amitié naissante un peu au détriment du reste et les personnages secondaires s'en retrouvent un peu atténués.
Afin de rendre encore plus crédible et vivant ses personnages, elle fait parler Asher avec un accent et des expressions de pêcheur de la côte. Ce phrasé peut choquer au début et déranger mais au final l'effet escompté est réussi.
La fin ouverte de ce premier roman est là pour tenir en haleine le lecteur et la construction en diptyque de ce roman évite que l'histoire s'épuise.
Voici un roman qui ne révolutionnera pas le genre mais qui reste malgré tout agréable à lire.