Né en 1976, Frederic Lhomme signe avec Marie des Loups son premier scénario de bande dessinée. A ses côté, Régis Penet, de six ans son aîné, s’est fait connaître avec le très remarqué Fleurs Carnivores dont il a réalisé les dessins sur un scénario de Jean-Blaise Djian.
Lutte de pouvoir
Jeune fille capricieuse et un peu folle, Marie se retrouve au cœur d’une lutte sans merci pour le pouvoir. Dernière représentante des Saint-Matthieu, une haine farouche l’oppose à Mardi, son alter ego dans la famille des Saint-Pierre. Les deux femmes aimeraient s’entretuer et ne sont guère d’humeur à écouter Frédéric qui lui penche pour l’union des deux clans. C’est pour lui la seule solution pour reconquérir le pouvoir et installer une république. L’intelligence politique aura-t-il raison de la haine ?
Triste final
Avec un personnage complètement frappé, jouant de la séduction et de la violence, rappelant par certains côtés celui d’Orange Mécanique, le final se présentait comme grandiose. On en ressort un peu déçu, avec ce sentiment que le scénario se perd dans des considérations politiques qui nous dépassent un peu. Des considérations qui finalement n’ont qu’assez peu de poids dans l’intrigue de ce troisième tome surtout orienté vers l’action. Le résultat c’est que nous aussi, on se perd dans les scènes successives et les ellipses du récit. On reste sur notre faim. Quant aux dessins, s’ils sont plutôt réussis, ils entretiennent la confusion avec deux héroïnes qui se ressemblent fortement. Sans doute trop. Autre regret de grandes planches de combat qui n’apportent pas grand chose. Bref, on n’est pas sûr au bout de 48 pages de bien avoir toutes les pièces du puzzle et une deuxième lecture s’impose. Ce cycle avait au début beaucoup de charme. Il s’achève dans la confusion. Dommage.
Lutte de pouvoir
Jeune fille capricieuse et un peu folle, Marie se retrouve au cœur d’une lutte sans merci pour le pouvoir. Dernière représentante des Saint-Matthieu, une haine farouche l’oppose à Mardi, son alter ego dans la famille des Saint-Pierre. Les deux femmes aimeraient s’entretuer et ne sont guère d’humeur à écouter Frédéric qui lui penche pour l’union des deux clans. C’est pour lui la seule solution pour reconquérir le pouvoir et installer une république. L’intelligence politique aura-t-il raison de la haine ?
Triste final
Avec un personnage complètement frappé, jouant de la séduction et de la violence, rappelant par certains côtés celui d’Orange Mécanique, le final se présentait comme grandiose. On en ressort un peu déçu, avec ce sentiment que le scénario se perd dans des considérations politiques qui nous dépassent un peu. Des considérations qui finalement n’ont qu’assez peu de poids dans l’intrigue de ce troisième tome surtout orienté vers l’action. Le résultat c’est que nous aussi, on se perd dans les scènes successives et les ellipses du récit. On reste sur notre faim. Quant aux dessins, s’ils sont plutôt réussis, ils entretiennent la confusion avec deux héroïnes qui se ressemblent fortement. Sans doute trop. Autre regret de grandes planches de combat qui n’apportent pas grand chose. Bref, on n’est pas sûr au bout de 48 pages de bien avoir toutes les pièces du puzzle et une deuxième lecture s’impose. Ce cycle avait au début beaucoup de charme. Il s’achève dans la confusion. Dommage.