Né en 1979, Dmitry Glukhovsky est journaliste expert en relations internationales. Il est aujourd’hui reporter free-lance pour Russia Today’s. Dans Métro 2034, il poursuit son exploration du métro moscovite dans un monde post-apocalyptique, qui a connu une adaptation en jeu vidéo sortie sous nos contrées en mars 2010.
Un deuxième volet tout aussi sombre que le précédent...
La Sevastopolskaya produit de l’électricité qui alimente le métro moscovite, mais la dernière caravane d’approvisionnement n’est jamais revenue de la ligne circulaire, et les groupes de reconnaissance envoyés à sa recherche n’ont plus donné signe de vie.
Ils seront trois à devoir résoudre cette énigme. Hunter, le combattant impitoyable revenu d’entre les morts, rongé de l’intérieur par les ténèbres ; Homère, qui a tout perdu aux premiers instants de la guerre et projette de laisser sa trace dans la nouvelle histoire qui s’ouvre ; et Sacha, jeune fille à peine sortie de l’adolescence qu’ils trouveront sur leur route dans une station où elle a vécu en exil avec son père.
... où perce une lueur d'espoir
On retrouve dans cette suite de Métro 2033 les sombres souterrains du métro moscovite, où l’humanité parvient tant bien que mal à survivre aux conséquences d’une guerre nucléaire généralisée. Là où le précédent opus s’attardait sur la vie quotidienne dans les sous-sols moscovites, avec quantité de dialogues descriptifs alourdissant le récit, sa suite s’intéresse davantage au périple de trois protagonistes, avec une narration qui oscille entre Homère et Sacha. Hunter est quant à lui le point de repère autour duquel navigue le récit, même si on ne le découvre qu’au travers des yeux de nos deux narrateurs.
L’auteur s’attache également aux événements qui ont précédé la fuite de l’humanité dans ces souterrains, et laisse entrevoir une lueur d’espoir : les hommes n’ont pas tout perdu, il reste encore des bribes des connaissances passées. Le récit est plus dynamique et varié, et l’auteur évite les longueurs du premier volet : ce très bon roman gomme les défauts de son prédécesseur, et donne une histoire beaucoup moins linéaire dans son déroulement.
Là où Métro 2033 s’apparentait souvent à un catalogue des différentes stations du métro de Moscou (du moins au début), avec un décor qui prenait le pas sur l’histoire, Métro 2034 propose quant à lui un décor qui sert véritablement l’histoire. Une suite réussie et supérieure au premier volet !
Un deuxième volet tout aussi sombre que le précédent...
La Sevastopolskaya produit de l’électricité qui alimente le métro moscovite, mais la dernière caravane d’approvisionnement n’est jamais revenue de la ligne circulaire, et les groupes de reconnaissance envoyés à sa recherche n’ont plus donné signe de vie.
Ils seront trois à devoir résoudre cette énigme. Hunter, le combattant impitoyable revenu d’entre les morts, rongé de l’intérieur par les ténèbres ; Homère, qui a tout perdu aux premiers instants de la guerre et projette de laisser sa trace dans la nouvelle histoire qui s’ouvre ; et Sacha, jeune fille à peine sortie de l’adolescence qu’ils trouveront sur leur route dans une station où elle a vécu en exil avec son père.
... où perce une lueur d'espoir
On retrouve dans cette suite de Métro 2033 les sombres souterrains du métro moscovite, où l’humanité parvient tant bien que mal à survivre aux conséquences d’une guerre nucléaire généralisée. Là où le précédent opus s’attardait sur la vie quotidienne dans les sous-sols moscovites, avec quantité de dialogues descriptifs alourdissant le récit, sa suite s’intéresse davantage au périple de trois protagonistes, avec une narration qui oscille entre Homère et Sacha. Hunter est quant à lui le point de repère autour duquel navigue le récit, même si on ne le découvre qu’au travers des yeux de nos deux narrateurs.
L’auteur s’attache également aux événements qui ont précédé la fuite de l’humanité dans ces souterrains, et laisse entrevoir une lueur d’espoir : les hommes n’ont pas tout perdu, il reste encore des bribes des connaissances passées. Le récit est plus dynamique et varié, et l’auteur évite les longueurs du premier volet : ce très bon roman gomme les défauts de son prédécesseur, et donne une histoire beaucoup moins linéaire dans son déroulement.
Là où Métro 2033 s’apparentait souvent à un catalogue des différentes stations du métro de Moscou (du moins au début), avec un décor qui prenait le pas sur l’histoire, Métro 2034 propose quant à lui un décor qui sert véritablement l’histoire. Une suite réussie et supérieure au premier volet !