ActuSF : Comment est née l'idée de cette nouvelle ?
Tony Robillard : Je n’avais pas écris d’histoire depuis plusieurs mois quand j’ai vu l’appel à textes sur le forum d’Actusf. C’était l’automne, je passais tous les jours devant ce mur peint à la sortie du métro (mur que je n’ai remarqué qu’après avoir vécu deux ans aux Lilas… voyez quel sens de l’observation… à moins que qu’il faille avoir la Vue pour le remarquer…). Là-dessus ajoutez deux ou trois actualités sociales et faits divers sordides, deux ou trois chansons de Daran en boucle dans le baladeur, et j’ai commencé à voir se profiler des idées. Vous savez, ces petits moments magiques quand les morceaux sortent de partout et se jettent sur le carnet. Merci à Daran et au métro (la petite héroïne je l’y ai vraiment vue un dimanche soir dans cette même station).
ActuSF : Comment la présenteriez-vous ?
Tony Robillard : Une histoire de tous les jours quand on a envie de regarder les choses et les gens à travers un filtre particulier ? Plus sérieusement il y a des choses « féériques » partout et tout le temps, c’est un peu ce que je cherche à montrer à travers ce genre de texte. Pas besoin de fées pour admirer un paysage ou un coucher de soleil évidemment, mais on peut aussi trouver ce genre d’émerveillement quotidien dans des choses anodines comme un flocon de neige ou une goutte d’eau qui file sur un pare brise.
ActuSF : Quels sont vos projets ?
Tony Robillard : J’imagine qu’on parle d’écriture ? Cette première publication « officielle » (c'est-à-dire en ne comptant ni les publications scientifiques ou les fanzines) me donne envie d’en faire plus évidement. Mais pour citer G.R.R. Martin dont je dévore actuellement la RRtrospective vol.1, une nouvelle publiée ça peut-être de la chance, deux ce serait la confirmation que je suis capable de quelque chose. J’ai quelques textes sous le coude, mais peu valent quelque chose en l’état. Mon vrai projet est une grosse histoire de fantasy commencée il y a longtemps et qui ne ressemble plus tellement à ce qu’elle était au départ. Je pensais en avoir terminé en 2001, mais je me suis rendu compte tout seul que… non, pas du tout. Alors j’ai tout recommencé. J’ai aussi un autre projet plus en rapport avec « Fées dans la ville », qui pourrait s’intituler, fées à la campagne en Picardie (marre qu’on pense que toutes les fées sont bretonnes ou irlandaises ;-)), mais j’ai tellement peu écrit là-dessus qu’il vaut mieux que je me taise, je pense que ce sera mûr dans une vingtaine d’année au bas mot. J’ai le temps et je tiens à ce que l’écriture reste un plaisir et pas un autre truc avec compétition, rendement et obligations.
Tony Robillard : Je n’avais pas écris d’histoire depuis plusieurs mois quand j’ai vu l’appel à textes sur le forum d’Actusf. C’était l’automne, je passais tous les jours devant ce mur peint à la sortie du métro (mur que je n’ai remarqué qu’après avoir vécu deux ans aux Lilas… voyez quel sens de l’observation… à moins que qu’il faille avoir la Vue pour le remarquer…). Là-dessus ajoutez deux ou trois actualités sociales et faits divers sordides, deux ou trois chansons de Daran en boucle dans le baladeur, et j’ai commencé à voir se profiler des idées. Vous savez, ces petits moments magiques quand les morceaux sortent de partout et se jettent sur le carnet. Merci à Daran et au métro (la petite héroïne je l’y ai vraiment vue un dimanche soir dans cette même station).
ActuSF : Comment la présenteriez-vous ?
Tony Robillard : Une histoire de tous les jours quand on a envie de regarder les choses et les gens à travers un filtre particulier ? Plus sérieusement il y a des choses « féériques » partout et tout le temps, c’est un peu ce que je cherche à montrer à travers ce genre de texte. Pas besoin de fées pour admirer un paysage ou un coucher de soleil évidemment, mais on peut aussi trouver ce genre d’émerveillement quotidien dans des choses anodines comme un flocon de neige ou une goutte d’eau qui file sur un pare brise.
ActuSF : Quels sont vos projets ?
Tony Robillard : J’imagine qu’on parle d’écriture ? Cette première publication « officielle » (c'est-à-dire en ne comptant ni les publications scientifiques ou les fanzines) me donne envie d’en faire plus évidement. Mais pour citer G.R.R. Martin dont je dévore actuellement la RRtrospective vol.1, une nouvelle publiée ça peut-être de la chance, deux ce serait la confirmation que je suis capable de quelque chose. J’ai quelques textes sous le coude, mais peu valent quelque chose en l’état. Mon vrai projet est une grosse histoire de fantasy commencée il y a longtemps et qui ne ressemble plus tellement à ce qu’elle était au départ. Je pensais en avoir terminé en 2001, mais je me suis rendu compte tout seul que… non, pas du tout. Alors j’ai tout recommencé. J’ai aussi un autre projet plus en rapport avec « Fées dans la ville », qui pourrait s’intituler, fées à la campagne en Picardie (marre qu’on pense que toutes les fées sont bretonnes ou irlandaises ;-)), mais j’ai tellement peu écrit là-dessus qu’il vaut mieux que je me taise, je pense que ce sera mûr dans une vingtaine d’année au bas mot. J’ai le temps et je tiens à ce que l’écriture reste un plaisir et pas un autre truc avec compétition, rendement et obligations.