Né en 1957, Anthony Horowitz est un auteur anglais jeunesse très connu, qui a reçu plusieurs prix littéraires. Il a aussi réalisé les scénarios de séries télévisées.

 

« Point blanche » est le deuxième tome de sa série de neuf livres sur Alex Rider, un jeune espion anglais. 

 

 

Un attentat a été commis sur le milliardaire Michael J. Roscoe. Il a été retrouvé mort sous un ascenseur. Les services secrets britanniques mènent l’enquête et envoient Alex Rider dans une école privée suspecte, où les enseignants pourraient avoir un rapport avec l’affaire. 

 

Alex entre dans l’école en tant qu’élève (10 000 € par trimestre) et il découvre que les élèves agissent pour la plupart comme des robots. Il risque sa vie et il commence à regretter d’être un agent secret…

 

 

J’aime bien ce livre, comme j’avais apprécié le premier. Il y a de l’action et du suspense. Dès qu’Alex entre dans l’école, l’histoire devient plus intéressante, on a envie de savoir ce qui se passe à « Pointe blanche ».  

 

Les gadgets secrets d’Alex varient suivant ses missions. Ceux de ce livre (combinaison de ski isolante et pare-balles, lunettes infra-rouges, CD en scie électrique, …) sont différents de ceux du premier tome. 

 

Les dialogues sont drôles, mais pas forcément les situations dans lesquelles Alex se retrouve.

 

Je ne m’attendais pas vraiment à la fin et j’ai été agréablement surpris.

L’école « Pointe blanche » ressemble un peu à l’école fantastique de « L’île du crâne », une autre série d’Anthony Horowitz, où les élèves sont manipulés par les professeurs. Cela m’a fait penser aussi à la nouvelle de Johan Heliot  « Les remplaçants »  dans le recueil « Tu veux savoir ? », où des collégiens ont été remplacés par des robots.