L’auteur
Orson Scott Card est un des meilleurs auteurs de science-fiction et de fantasy américain, connu pour le cycle d’Ender, pour lequel il a reçu les prix Hugo et Nebula. Son 1er tome « La stratégie Ender » a donné lieu à un film à gros budget avec Harison Ford en 2013.
Ses cycles les plus connus sont en SF « Le cycle d’Ender » et « La saga des ombres » qui est un prolongement parallèle du cycle d’Ender. En fantasy, il est surtout connu pour « Les chroniques d’Alvin le faiseur ».
Orson Scott Card est un des meilleurs auteurs de science-fiction et de fantasy américain, connu pour le cycle d’Ender, pour lequel il a reçu les prix Hugo et Nebula. Son 1er tome « La stratégie Ender » a donné lieu à un film à gros budget avec Harison Ford en 2013.
Ses cycles les plus connus sont en SF « Le cycle d’Ender » et « La saga des ombres » qui est un prolongement parallèle du cycle d’Ender. En fantasy, il est surtout connu pour « Les chroniques d’Alvin le faiseur ».
L’histoire
« Préludes » est un recueil de cinq nouvelles (« Mazer en prison », « Joli garçon », « Tricheur », « Un cadeau pour Ender », « Une guerre de dons ») qui se déroulent avant le premier tome du cycle d’Ender « La stratégie Ender » à l’époque où Ender devient peu à peu un stratège hors pair.
En se laissant dériver dans l’espace, le commandant Mazer a abandonné sa famille pour recruter de jeunes surdoués et en faire des stratèges en vue de la prochaine guerre intergalactique. On suit différentes recrues : Bonito, surdoué depuis la naissance, Han Tzu, enfermé à domicile par son père pour devenir un général, Zeck, un chrétien pacifique qui connaît la Bible par cœur et refuse de se servir d’une arme, et le jeune Ender…
Ils passent tous des tests sur Terre, puis les meilleurs rejoignent l’Académie militaire dans l’espace. Ender surclasse rapidement ses camarades dans les jeux de simulation de bataille.
Mon avis
La première nouvelle « Mazer en prison » explique pourquoi la flotte militaire internationale a besoin rapidement de recruter des surdoués, mais c’est plutôt répétitif et un peu ennuyeux : le commandant est tout seul dans l’espace et il explique tout au long du récit ce qu’il va faire et pourquoi. Il y a peu d’action. Les autres nouvelles sont plus intéressantes car chacune présente des recrues différentes. En dehors de Bonito, il s’agit de jeunes garçons qui sont souvent brimés ou éduqués à la dure par leur famille. Ender, lui, a des relations plus paisibles avec ses parents. Il est plutôt triste de quitter sa famille. Il ne s’intéressait pas trop à la guerre et à la stratégie militaire avant de voir débarquer des recruteurs.
La description des jeux de guerre en groupe est plutôt rapide, on aimerait qu’elle soit un peu plus détaillée.
Ces récits donnent envie de lire le cycle d’Ender. Personnellement, j’ai vu le film, mais j’ai maintenant envie de lire les tomes du cycle.
« Préludes » est un recueil de cinq nouvelles (« Mazer en prison », « Joli garçon », « Tricheur », « Un cadeau pour Ender », « Une guerre de dons ») qui se déroulent avant le premier tome du cycle d’Ender « La stratégie Ender » à l’époque où Ender devient peu à peu un stratège hors pair.
En se laissant dériver dans l’espace, le commandant Mazer a abandonné sa famille pour recruter de jeunes surdoués et en faire des stratèges en vue de la prochaine guerre intergalactique. On suit différentes recrues : Bonito, surdoué depuis la naissance, Han Tzu, enfermé à domicile par son père pour devenir un général, Zeck, un chrétien pacifique qui connaît la Bible par cœur et refuse de se servir d’une arme, et le jeune Ender…
Ils passent tous des tests sur Terre, puis les meilleurs rejoignent l’Académie militaire dans l’espace. Ender surclasse rapidement ses camarades dans les jeux de simulation de bataille.
Mon avis
La première nouvelle « Mazer en prison » explique pourquoi la flotte militaire internationale a besoin rapidement de recruter des surdoués, mais c’est plutôt répétitif et un peu ennuyeux : le commandant est tout seul dans l’espace et il explique tout au long du récit ce qu’il va faire et pourquoi. Il y a peu d’action. Les autres nouvelles sont plus intéressantes car chacune présente des recrues différentes. En dehors de Bonito, il s’agit de jeunes garçons qui sont souvent brimés ou éduqués à la dure par leur famille. Ender, lui, a des relations plus paisibles avec ses parents. Il est plutôt triste de quitter sa famille. Il ne s’intéressait pas trop à la guerre et à la stratégie militaire avant de voir débarquer des recruteurs.
La description des jeux de guerre en groupe est plutôt rapide, on aimerait qu’elle soit un peu plus détaillée.
Ces récits donnent envie de lire le cycle d’Ender. Personnellement, j’ai vu le film, mais j’ai maintenant envie de lire les tomes du cycle.