Jacques Mazeau est auteur de littérature classique. Avec Disparitions, il assure la transcription en bandes dessinées de la série de France 3 du même nom. Cette histoire est initialement tirée de son roman L’Or des Maures. Il se fait aider par Didier Convard pour le scénario et par différents dessinateurs pour le graphisme. Pierre Wachs assure celui du premier tome.
Une bien étrange affaire
Estelle Sormand est retrouvée morte dans une grotte, au milieu d'une mise en scène ressemblant fortement à un rituel mystique. Son décès est dû à l'absorption de drogue, du peyotl. Son père, éminent chercheur en psychologie, défenseur des univers parallèles, est-il partie prenante dans cette affaire ?
C'est ce que se demande le commissaire chargé de l'enquête. Il est surtout perturbé par les souvenirs que ravive ce meurtre. Ancien disciple du professeur, il a lui-même participé à des expériences étranges, dans des grottes semblables à celle où est morte Estelle.
Il y était avec Claire, une femme médecin qui est paralysée suite à une randonnée avec le professeur et le commissaire, son ami de l'époque. Cette femme a des visions, liées semble-t-il à la mort de la victime.
Mais en quoi la clinique où elle travaille peut-elle être liée à tout celà ? Et que vient faire la DGSE qui veut étouffer l'enquête du commissaire ?
Le secret d'une bonne série : des secrets dans les secrets...
Cette bande dessinée est en fait la transcription d'une série télévisée passant sur France 3. Cet album d'introduction est destiné à poser le décor, placer les protagonistes et intriguer le lecteur. En ceci, il réussit parfaitement.
Recopié du scénario télévisuel, cette histoire est complexe, alambiquée et certainement prévue pour durer longtemps. Les possibilités ouvertes par les diverses intrigues laissent entrevoir une longue série d'albums/épisodes pleins de rebondissements et de nouveaux secrets sortis du placard.
Autant, pour une série télévisée, il est possible de s'intéresser à de telles histoires à rallonge, autant sortir en bandes dessinées la même trame paraît délicat. À raison de cinquante minutes par semaine, le public peut rester accroché, mais pour obtenir le même résultat, il faudrait aux auteurs de BD tenir un rythme inédit pour le dessin. Mais peut-être l'utilisation de plusieurs dessinateurs (Wachs ne dessine pas le second tome) permettra-t-elle d'accélérer la production.
Une bien étrange affaire
Estelle Sormand est retrouvée morte dans une grotte, au milieu d'une mise en scène ressemblant fortement à un rituel mystique. Son décès est dû à l'absorption de drogue, du peyotl. Son père, éminent chercheur en psychologie, défenseur des univers parallèles, est-il partie prenante dans cette affaire ?
C'est ce que se demande le commissaire chargé de l'enquête. Il est surtout perturbé par les souvenirs que ravive ce meurtre. Ancien disciple du professeur, il a lui-même participé à des expériences étranges, dans des grottes semblables à celle où est morte Estelle.
Il y était avec Claire, une femme médecin qui est paralysée suite à une randonnée avec le professeur et le commissaire, son ami de l'époque. Cette femme a des visions, liées semble-t-il à la mort de la victime.
Mais en quoi la clinique où elle travaille peut-elle être liée à tout celà ? Et que vient faire la DGSE qui veut étouffer l'enquête du commissaire ?
Le secret d'une bonne série : des secrets dans les secrets...
Cette bande dessinée est en fait la transcription d'une série télévisée passant sur France 3. Cet album d'introduction est destiné à poser le décor, placer les protagonistes et intriguer le lecteur. En ceci, il réussit parfaitement.
Recopié du scénario télévisuel, cette histoire est complexe, alambiquée et certainement prévue pour durer longtemps. Les possibilités ouvertes par les diverses intrigues laissent entrevoir une longue série d'albums/épisodes pleins de rebondissements et de nouveaux secrets sortis du placard.
Autant, pour une série télévisée, il est possible de s'intéresser à de telles histoires à rallonge, autant sortir en bandes dessinées la même trame paraît délicat. À raison de cinquante minutes par semaine, le public peut rester accroché, mais pour obtenir le même résultat, il faudrait aux auteurs de BD tenir un rythme inédit pour le dessin. Mais peut-être l'utilisation de plusieurs dessinateurs (Wachs ne dessine pas le second tome) permettra-t-elle d'accélérer la production.