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Rhapsodie noire

Brian Stableford ( Auteur), Bruno Martin (Traducteur), Daniel Capparelli (Illustrateur de couverture)
Cycle/Série : 
Langue d'origine : Français
Aux éditions : Collection :
Date de parution : 31/01/2006  -  livre
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Rhapsodie noire

Né en 1948 en Grande Bretagne, Brian Stableford est un auteur touche à tout. Avec 50 romans à son actif, 200 nouvelles et plusieurs livres de non-fiction, il a marqué son époque avec des romans comme L’Extase des Vampires, Le Feu de la Salamandre et Les Loups-garous de Londres. Le cycle de Grainger date des années 70. Les six premiers tomes avaient d’ailleurs été publiés par les éditions Opta (dans la collection Galaxies Bis) avant d’être aujourd’hui ressortis de l’oubli par les éditions Eons.

En route pour Rhapsodie.

Baroudeur et pilote spatial mal embouché, Grainger vit une période plutôt troublée depuis quelques temps. D’abord il a dans sa tête un « hôte » indésirable qu’il appelle « Le Vent ». Une entité qui lui parle régulièrement et tente d’orienter ses actions. Ensuite pour faire face à de graves soucis financiers, il a été obligé de travailler pour un patron qui poursuit des idées plutôt étranges et surtout dangereuses. Dernière destination en date pour l’astronef de Grainger : la planète Rhapsodie. Elle cache dit-on dans ses sous-sols un trésor étonnant et très convoité. Mais ce que ne sait pas Grainger, c’est que la civilisation de la planète est plutôt… particulière. Une nouvelle aventure à ses risques et périls.

Action et découverte.

Avec ce deuxième tome de la série Grainger, Brian Stableford poursuit dans la lignée qu’il s’est choisi pour ce cycle. Un space opera aux multiples rebondissements avec un baroudeur pour héros. Une recette classique mais qu’il applique avec efficacité et concision (174 pages). Résultat on suit avec plaisir les aventures de Grainger à la découverte d’une nouvelle civilisation dans ce tome. L’esprit de « découverte » est d’ailleurs l’un des plaisirs de la série tout comme le personnage de Grainger qui a le mérite de douter en permanence et de rejeter l’esprit qu’il a dans sa tête. On ne peut pas dire qu’ils fassent ami-ami ensemble ! Bref, on passe plutôt un bon moment avec ce cycle sans prétention mais plutôt bien fait. Une bonne réédition des éditions Eons

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