Michaël Le Galli travaille pour Delcourt depuis 2003, sur des albums comme Les Cercles d'Akamoth, Watch ou Les Démons de Marie. Francis Manapul est connu comme dessinateur de Witchblade. Il a aussi participé à d'autres comics (Tomb Raider, The Darkness, Necromancer).
La dernière chance
La dernière ville du royaume de N'nas Amon est assiégée. Demain, elle sera rasée, la reine le sait. Mais elle ne veut pas voir disparaître toute trace de son peuple et souhaite surtout que sa propre progéniture survive au massacre.
Afin de s'assurer que son fils puisse s'enfuir, elle fait appel aux redoutables guerrières Sarmates, des amazones qui ont fait vœu de chasteté et de fraternité entre elles. Lorsque l'armée attaque, et avant qu'elle ne balaye les défenseurs, sept femmes entourent le prince et l'entraînent en direction d'un sanctuaire caché dans les sables du désert.
Mais la route n'est pas de tout repos. Tout s'acharne contre l'expédition, prélevant un tribut sans cesse plus lourd parmi les femmes, dont certaines sont prêtes à craquer. Pourtant la reine a tout prévu...
Un scénario sans trous
L'histoire démarre étrangement, mais enchaîne très vite sur une course-poursuite. À partir de là, il n'y a plus aucun temps mort, pas plus pour les héroïnes que pour le lecteur. Pris dans un scénario implacable, jusqu'au dénouement final, nous n'avons plus qu'à trembler, pleurer ou nous réjouir au fil des pages.
Le dessin toutefois manque par moment de finition, un peu brouillon et peu fouillé. Il aurait peut-être été préférable de mieux détailler certains décors et certaines scènes tout juste esquissés, mais l'ensemble est d'un niveau plus que correct pour ce type de récit.
La série des "Sept" est remarquable et ce tome ne déroge pas à la qualité de l'ensemble. Particulièrement le scénario haletant mais aussi, avec quelques défauts, le dessin coloré et nerveux, sont à la hauteur de la série. Ils forment un tout agréable et fort sympathique.
La dernière chance
La dernière ville du royaume de N'nas Amon est assiégée. Demain, elle sera rasée, la reine le sait. Mais elle ne veut pas voir disparaître toute trace de son peuple et souhaite surtout que sa propre progéniture survive au massacre.
Afin de s'assurer que son fils puisse s'enfuir, elle fait appel aux redoutables guerrières Sarmates, des amazones qui ont fait vœu de chasteté et de fraternité entre elles. Lorsque l'armée attaque, et avant qu'elle ne balaye les défenseurs, sept femmes entourent le prince et l'entraînent en direction d'un sanctuaire caché dans les sables du désert.
Mais la route n'est pas de tout repos. Tout s'acharne contre l'expédition, prélevant un tribut sans cesse plus lourd parmi les femmes, dont certaines sont prêtes à craquer. Pourtant la reine a tout prévu...
Un scénario sans trous
L'histoire démarre étrangement, mais enchaîne très vite sur une course-poursuite. À partir de là, il n'y a plus aucun temps mort, pas plus pour les héroïnes que pour le lecteur. Pris dans un scénario implacable, jusqu'au dénouement final, nous n'avons plus qu'à trembler, pleurer ou nous réjouir au fil des pages.
Le dessin toutefois manque par moment de finition, un peu brouillon et peu fouillé. Il aurait peut-être été préférable de mieux détailler certains décors et certaines scènes tout juste esquissés, mais l'ensemble est d'un niveau plus que correct pour ce type de récit.
La série des "Sept" est remarquable et ce tome ne déroge pas à la qualité de l'ensemble. Particulièrement le scénario haletant mais aussi, avec quelques défauts, le dessin coloré et nerveux, sont à la hauteur de la série. Ils forment un tout agréable et fort sympathique.