Né en 1957, Anthony Horowitz est un auteur anglais jeunesse très connu, qui a reçu plusieurs prix littéraires. Il a aussi réalisé les scénarios de séries télévisées.

 

« Stormbreaker » est le premier tome de sa série de huit livres sur Alex Rider, un jeune espion anglais. 

 

 

Alex Rider, 14 ans, est le neveu d’Ian Rider, un espion recruté par le MI6, service secret britannique connu dans le monde entier. A la mort de cet unique parent, Alex va travailler à l’essai pour le MI6 malgré son âge. Il va devoir s’entraîner dur avec des adultes : se cacher, éviter des pièges, faire du sport, faire de longues marches à pied, etc. 

 

Sa première mission consiste à trouver ce qui se cache derrière les Stormbreakers, des ordinateurs ultra-puissants qui vont être distribués dans toutes les écoles britanniques. 

 

Quels traquenards se trouvent dissimulés au fond de ces ordinateurs ?

 

 

J’ai lu plusieurs livres d’Anthony Horowitz (dont « L’île du crâne » et « Maudit Graal »). J’aime bien cet auteur parce qu’il est drôle, il imagine toujours des choses intéressantes et originales. 

 

J’aime bien l’idée du jeune espion qui travaille avec des grandes personnes. Comme James Bond, il a des armes secrètes, par exemple un produit dans un tube, qui fait fondre le métal. Il n’a pas vraiment choisi d’être espion, mais, après la mort de son oncle, il n’avait pas vraiment le choix. Le MI6 est devenu sa seule famille. 

 

Pendant son entraînement, Alex est épuisé, car c’est très difficile pour lui. Parfois, c’est tellement exagéré que ça devient drôle, comme souvent avec Anthony Horowitz.

Alex fait souvent des gaffes. Il ne se rend pas compte des dégâts qu’il peut causer, comme tirer une balle dans la main du premier ministre anglais…

 

A la fin, après avoir fait exploser un bâtiment, il finit par être recruté officiellement par le MI6.