Makino Aoi est une spécialiste de shojo et a fait ses débuts en 2008 avec le manga “Ao no stubasa” . C’est une auteur qui aime infliger une certaine pression psychologique à ses lecteurs dès les premiers tomes. "The end of the world" en France sort chez  Panini Manga et au japon chez  Shueisha.

 

 

Azusa Senda est une jeune lycéenne qui a quitté Kobe avec ses parents pour aller dans une plus petite ville et contrairement à ce que tout le monde pense, ils n’ont pas déménagé à cause du travail de son père, mais parce qu’elle se faisait persécuter par des filles de sa classe.

 

A peine arrivé le garçon le plus populaire du lycée Kasuga qui se trouvait être dans sa classe, lui demande si elle peut être sa petite amie et elle accepte pour pouvoir ne pas avoir a subir d’autres formes d’intimidation. Takashi Kawaguchi  est un fan de train et lit souvent des magazine sur les trains en cours, ce qui fait de lui un Tetsudo Otaku un sujet qu’utilise Kasuga pour le persécuter avec sa bande, ce qui laisse complètement indifférent Kawaguchi qui ne rate pas une seule heure de cours malgré la façon dont il est traité.

 

Un jour Azusa, qui est dans une situation délicate, se fait secourir par Kawaguchi. Ils apprennent ensuite certaines choses sur l’un sur l’autre au fil du temps et Azusa tombe amoureuse de Kawaguchi. Elle décide alors de rompre avec Kasuga, mais celui-ci refuse et étant trop agressif et possessif, il refuse et tente de la violer.

 

Ce premier tome finit malheureusement mal pour l’un de nos trois personnages principaux mais lequel ? Et que va-t-il lui arriver ?

 

 

"The end of the world" est mon premier manga de choc psychologique mais aussi de Makino Aoi et je trouve cela grandiose. Dans le tome un, l’auteur fait tout pour qu’on éprouve un grand stress pour les personnages principaux et pour moi, ça a été le cas.

 

Je me suis facilement attachée à Azusa, même si au début je ne la comprenais pas complètement. Elle fait aussi tout pour qu’au début, on déteste Kasuga mais pour qu'après le tragique événement, on commence à l'apprécier et même à l’aimer.