Écrivain à la réputation mondiale, Ray Bradbury se fait connaître rapidement du publique avec Fahrenheit 451 (1953) qui reçut en 1984 le prix Prometheus Award, et Les Chroniques Martiennes (The Martian Chronicles, 1950).
Bon nombre de ses nouvelles furent adaptées à la télé ou en courts métrages comme I Sing The Body Electric reprise pour le 100e épisode de la Twilight Zone en 1962. Something Wicked This Way Comes a elle été aussi reprise en 1983 dans un film d'horreur portant le même nom.
Mort le 5 juin 2012, Ray Bradbury nous a laissé des centaines d'histoires, romans et nouvelles pour un voyage illimité vers Mars et le rêve.
Si on ne peut avoir la réalité, un rêve vaut tout autant.
Si on ne peut avoir la réalité, un rêve vaut tout autant.
De chevaliers combattant un dragon de fer à un costume spécial désinhibant les cinq jeunes hommes qui le portent, envolons-nous le coeur serré vers Mars et ses vallées pour nous rapprocher un peu plus de notre Terre...
C'est grave docteur ?!
Auteur fantasque qui sut bouleverser l'imaginaire de nombreux écrivains et lecteurs, Ray Bradbury nous transporte une nouvelle fois dans ses univers homériques où la science-fiction est une chimère, et où n'existe qu'une réalité poétique.
Vrai remède contre le blues en cet été ingrat, Un Remède contre la mélancolie est un petit recueil réjouissant par sa simplicité d'histoire et son écriture joviale.
Les histoires s'enchaînent sans se ressembler, passant les émotions au crible, et touchent la corde sensible de l'onirisme que chacun cache en soi.
Loin d'être un orviétan, et si comme l'héroïne Camilla de la nouvelle portant le même nom que le livre, Ray Bradbury nous avait légué bien plus que vingt-deux nouvelles de science-fiction mais Un Remède contre la mélancolie ?