Né en 1955 aux Etats-Unis, Steven Brust est une petite perle découverte en France depuis une dixaine d'années. Un auteur qui a déjà une carrière bien remplie aux Etats-Unis avec une vingtaine de romans et ce cycle de Vlad Taltos qui lui vaut une belle réputation outre atlantique...
Des débuts prometteurs mais difficile
Avec ce roman, Steven Brust revient aux débuts de son héros Vlad en tant que chef gangster. Son empire est alors ridiculement petit. Il a sous sa coupe quelques tavernes, salles de jeux clandestines et bordels réputés. Des débuts qui, s'ils sont prometteurs, sont plutôt dangereux. Surtout lorsqu'un caïd plus gros, Laris, a des vues sur les possessions de Vlad. Les deux hommes entament alors un bras de fer entre tentatives d'assassinats et coups bas. Mais derrière cette guerre des gangs semble se cacher un plan plus vaste... Vlad n'est pas au bout de ses soucis.
Original et léger
En se concentrant sur un personnage principal (et un seul point de vue au niveau de la narration) et en jouant en permanence sur l'humour, Steven Brust nous offre un deuxième roman plutôt léger et facile à lire. Le mélange entre une intrigue digne d'un polar dans un monde de fantasy avec en prime quelques bons mots fonctionne plutôt bien. Un récit qui a en plus le bon goût de ne pas s'éterniser en longueur avec seulement 336 pages. Des indications qui nous font dire que Steven Brust est un auteur intelligent. En livrant un roman plutôt simple et efficace, il évite d'en faire des tonnes et de tomber dans les pièges de la fantasy. Parfois ne pas se lancer dans des récits ultra-ambitieux sur des générations est un bon choix. Surtout lorsque, comme dans le cas présent, l'auteur utilise bien les ressorts du polar tout en y ajoutant un univers plutôt original. Bref, c'est une réussite. Pas sûr que l'on se souvienne dans quelques mois de toute l'intrigue, mais au moins aura-t-on passé un bon moment.
Des débuts prometteurs mais difficile
Avec ce roman, Steven Brust revient aux débuts de son héros Vlad en tant que chef gangster. Son empire est alors ridiculement petit. Il a sous sa coupe quelques tavernes, salles de jeux clandestines et bordels réputés. Des débuts qui, s'ils sont prometteurs, sont plutôt dangereux. Surtout lorsqu'un caïd plus gros, Laris, a des vues sur les possessions de Vlad. Les deux hommes entament alors un bras de fer entre tentatives d'assassinats et coups bas. Mais derrière cette guerre des gangs semble se cacher un plan plus vaste... Vlad n'est pas au bout de ses soucis.
Original et léger
En se concentrant sur un personnage principal (et un seul point de vue au niveau de la narration) et en jouant en permanence sur l'humour, Steven Brust nous offre un deuxième roman plutôt léger et facile à lire. Le mélange entre une intrigue digne d'un polar dans un monde de fantasy avec en prime quelques bons mots fonctionne plutôt bien. Un récit qui a en plus le bon goût de ne pas s'éterniser en longueur avec seulement 336 pages. Des indications qui nous font dire que Steven Brust est un auteur intelligent. En livrant un roman plutôt simple et efficace, il évite d'en faire des tonnes et de tomber dans les pièges de la fantasy. Parfois ne pas se lancer dans des récits ultra-ambitieux sur des générations est un bon choix. Surtout lorsque, comme dans le cas présent, l'auteur utilise bien les ressorts du polar tout en y ajoutant un univers plutôt original. Bref, c'est une réussite. Pas sûr que l'on se souvienne dans quelques mois de toute l'intrigue, mais au moins aura-t-on passé un bon moment.