Que de chemin parcouru par Corbeyran depuis son premier scénario écrit pour Vents d’Ouest. Auteur prolixe, il officie aujourd’hui dans tous les genres et tous les formats. Il passe avec une égale aisance de la fantasy,
Weëna (Delcourt) au réalisme,
Paroles de taule (Delcourt), du fantastique sombre,
Le Territoire (Delcourt), à la chronique tendre,
Le Cadet des Soupetard (Dargaud). Amateur de séries au long cours,
Le Chant des Stryges (Delcourt), comme de
one shot,
Le Village qui s’amenuise (Dargaud), il est devenu un scénariste incontournable de la bande dessinée.
Richard Guérineau de son côté n’officie que sur sa série phare débutée en 1997,
Le Chant des Stryges, bien qu’il ait donné à l’occasion un coup de main à Corbeyran sur le quatrième tome
d’Asphodèle qui faisait intervenir les fameux Stryges.
Pour l’amateur inconditionnel ou le lecteur curieux, le site officiel des Stryges
http://www.stryges.com/.
« Notre combat est bientôt terminé… Cette jeune femme sera le bras de notre victoire… » L’Ombre est en possession du Grimoire de Venoncius qu’elle doit remettre à ses commanditaires, Abeau et Cylinia. Ce précieux manuscrit permet à celui qui le détient de contrôler les Stryges et Sandman est prêt à tout pour le récupérer, y compris donner une seconde chance au lieutenant Reese qui a miraculeusement survécu à l’explosion de l’île. Lors du premier échange L’Ombre comme le couple lié aux Stryges a rusé et ils se voient tous trois obligés d’organiser un second rendez-vous. Un peu trop tard peut-être…
De leur côté, Nivek et Jill sont partis à la recherche de Melinda que son père a enlevée. Ils sont bien décidés à prouver à ce dernier que Nivek n’est pour rien dans le mal qui ronge sa fille et à lui révéler l’existence des Stryges.
On ne change pas une recette qui marche