Jeunesse
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Vendredi ou la vie sauvage

Aux éditions :   -  Collection : 
Date de parution : 02/10/12  -  Jeunesse
ISBN : 9782070650644
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AdrienN   - le 31/10/2017

Vendredi ou la vie sauvage

L’auteur

Michel Tournier est un grand romancier français, né en 1924, qui a obtenu le prix Goncourt en 1970 pour « Le roi des aulnes ».  « Les météores » et « La Goutte d’or » sont deux de ses romans très connus également.

Son premier roman, en 1967, fut « Vendredi ou les limbes du Pacifique ».  En 1971, il en publia une version jeunesse « Vendredi ou la vie sauvage », qui connut un grand succès par la suite. 


L’histoire

 Robinson est le seul survivant d’un naufrage sur une île déserte. Il tente de s’échapper en construisant un navire à partir de matériaux récupérés sur « La Virginie », le bateau échoué. Après plusieurs mois, il achève sa construction mais se rend compte que l’embarcation n’atteindra jamais l’océan.

Quelques fois, il voit des Indiens sacrifier d’autres membres de leur tribu car ils seraient « responsables » des catastrophes de la journée. Un jour, un Indien fuit pour ne pas se faire massacrer et trouve Robinson, qui sera son maître.

Robinson doit trouver un nom à son nouveau compagnon et décide de l’appeler Vendredi car c’était le jour où il l’avait rencontré d’après son calendrier. Vendredi fera les tâches que son maître faisait avant.  Le serviteur apprend l’Anglais et s’amuse avec Tenn, un chien de « La Virginie » retrouvé sur l’île. 

Plusieurs problèmes se présenteront : Vendredi enlèvera l’eau de la rizière pour sauver Tenn, il fera exploser des tonneaux de poudre…

Et puis, un navire se présente. C’est l’unique chance pour Robinson de retrouver sa famille. Quel choix les deux habitants de l’île feront-ils ? 

Mon avis


C’est un excellent roman basé sur le naufragé Robinson Crusoé. On ressent les mêmes émotions et envies que Robinson. Michel Tournier décrit bien les états d’âme de Robinson, comment il ressent son isolement et comment il essaie de garder l’espoir de retrouver un jour la société humaine.

Comme l’indique le titre, Vendredi n’est pas un personnage secondaire. Il apprend autant à Robinson que Robinson à Vendredi. Il n’y a pas un civilisé et un sauvage, mais deux hommes issus de cultures différentes.

Maintenant que j’ai lu « Vendredi ou la vie sauvage », je vais lire « Robinson Crusoé » de Daniel Defoe et le roman « Vendredi ou les limbes du Pacifique » pour comparer les différentes histoires.

 

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