Les éditeurs japonais et le piratage des mangas

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Après la Kodansha (qui a fait fermer un site de scantrad, Mangahelper), c'est la Shueisha qui lance un avertissement aux groupes qui font de la traduction de manga sur le net. Ce qui est amusant, c'est la manière de présenter les choses.
(source : http://www.total-manga.com/news-manga/scantrad-la-mise-en-garde-de-shueisha-n-3158-4.html . Merci à Morgan Magnin pour le lien)

A nos lecteurs :
De nombreuses personnes publient injustement des copies de nos mangas sur Internet. Ces copies illégales ne vont pas en accord avec les sentiments des mangakas. C'est un détournement de leurs intentions de publication "Je veux que mon travail soit lu de cette manière". Ces copies illégales sur le net, de ces oeuvres dans lesquelles les auteurs mettent leur coeur, ne blessent pas seulement les mangakas dans leur vie réelle, mais sont aussi contre la loi, même si réalisées avec de bonnes intentions. A chaque fois que nous découvrons ces "copies injustes", nous parlons au mangaka et considérons avec lui une contre-mesure. Mais le nombre de personnes qui ne nous prennent pas en considération est énorme, et pour le moment, nous ne pouvons tous les gérer. Nous avons une requête envers tous nos lecteurs. Ces copies illégales sur Internet blessent profondément la culture manga, les droits des mangakas et même l'âme des mangakas. Veuillez comprendre, une fois encore, que tout ceci est contre la loi. Ainsi, les mangakas et Shueisha s'occuperont sévèrement de toutes copies illégales trouvée sur Internet. Nous demandons à nos lecteurs de continuer à nous soutenir.

- Weekly Shônen Jump, département éditorial

Erion
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