En ce mois de septembre, les éditions La Volte vous proposent de découvrir leur nouvelle collection, Eutopia, qui sera consacrée aux novellas.
Pour inaugurer celle-ci, découvrez Un souvenir de Loti de Philippe Curval.
Dernière épreuve avant une retraite bien méritée ?
Rien dans l'univers n'est comparable à Nopal.
Ce petit bijou galactique est un trésor d'imprévisibilité dont la population disparate se consacre aux plaisirs et à la créativité, nourrie par les odeurs et les sons qu'inventent notamment les artistes en gastronomie. Boutiques de désirs, lecture sur les ailes des oiseaux, liberté des amours... Pour Loti et Marjorie, c'est le lieu idéal où passer les dernières années de leur vie.
Pour mériter cet ultime pays d'Utopie, un sacrifice est cependant nécessaire, en plus d'être capable de s'adapter aux changements incessants provoqués par Mandrake. Derrière les rêves devenus réalité se cache une étrange vérité. Et c'est pour appréhender cette complexité que Loti et Marjorie ne reculeront devant rien, pas même les fantômes de la fatalité.
A noter que Philippe Curval sort aussi un nouveau roman, toujours à La Volte, intitulé Black Bottom.
Lorsqu'une vengeance tourne au cauchemar !
Professeur réac' en grève-maladie illimitée, Beth Raven décide de s'implanter une puce iCortex dans le cerveau afin de diffuser un blog vengeur, lequel gagne de plus en plus en notoriété chaque jour. Son style décadent à souhait attire bientôt l'œil d'un dénommé Festen, artiste maudit et scandaleux aux œuvres interdites. Rejoints par Bill, charcutier d'art de son état, les deux comparses mettront au jour les obscures tractations du maire de Paris, qui fomente des opérations de recel d'œuvres.
Commence alors une vertigineuse chute aux enfers pour Beth.
Trompé par sa compagne, emprisonné au motif d'une schizophrénie aggravée, puis précipité dans une Venise aréelle, labyrinthique, il se retrouve piégé entre sa folie et sa réalité disparue. Au cœur d'une Sérénissime de cauchemar, ici photographiée par l'écriture, Beth va s'engager aux côtés d'Avaro, créature interactive d'art vivant, dans le dédale des événements qui les emportent.
Et si l'ultime voie pour s'arracher à ses angoisses était celle de « l'art terroriste » ?