Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Charlotte
J'en étais sûre: ce cochon légèrement mélancolique amateur du "temps des cerises" me fait penser à tes personnages; sans parler de la fascination de Miyazaki pour les machines volantes...Xavier Mauméjean a écrit :Good shot : Porco rosso.
justine a écrit :J'en étais sûre: ce cochon légèrement mélancolique amateur du "temps des cerises" me fait penser à tes personnages; sans parler de la fascination de Miyazaki pour les machines volantes...Xavier Mauméjean a écrit :Good shot : Porco rosso.
(merci pour toutes ces réponses éclairantes, Xavier ! )
Si Ganesha est l'alpha, Lilliputia est d'une certaine façon l'oméga. J'ai écrit mon premier roman avec une nécessité impérieuse, et Lilliputia comme si c'était le dernier, avec la même nécessité. Comme si après il n'y aurait plus rien, et que ce n'était pas forcément un mal. Je n'arrive pas à le formuler autrement, Eric. Simplement, pour moi il est très important.Eric a écrit :Puisque tu l'évoques toi-même plus haut, Lilliputia marque une rupture. Un roman de transition en quelque sorte...
Tu l'avais pensé comme ça ? Comme un passage ?
Oui, la cocaïne. Au début du XXe siècle, à Boston, il y avait un orchestre féminin, les Snow Birds, qui chantaient Cocaine Lil : "She lived in Cocaine Town up on Cocaine Hill".Bull a écrit :Bon, ben je suis convaincu.
Je vais le commander.
Etonnament tu n'es pas distribué dans les "Barnes and Nobel" de Boston.
Une raison ?
Un grand merci à toi également. Et merci à tous ceux qui ont participé.Xavier Mauméjean a écrit :Je suis arrivé en retard dans la discussion, et donc m'en vais après minuit, question de symétrie. Bonne nuit, et n'oubliez pas de rêver, sans trop vous préoccuper du marchand de sable. Il n'en a qu'après vos yeux.
Un grand merci à tous, vraiment.
Xavier
