HAHAHAHAHAHAHA, je t'aime, Gutboy !gutboy a écrit :Entre nous, on les appelle les caves.Stéphane a écrit :Pas grave les petits nouveaux, vous pouvez y aller sur Van Vogt, le CAAEVV* vous accueille !
*Club des Amateurs d'Auteurs Éminents, Viables et de Valeur (ou Club des Anti-Alfred Elton Van Vogt)
Faisons connaissance tous ensemble
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"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
L'éviscération c'est avec ou sans sauce piquante ? Parce que l'éviscération simple c'est fade, ça n'a aucun goût ou alors un légère arrière goût puant comme une adaptation de jeu vidéo en film par Uwe Boll.
Parce que l'éviscération doit rester un art. Petit exemple "Evisceration Plague" : http://www.youtube.com/watch?v=bJHJkJHa-T4
Et ne jamais oublié qu'il ne faut pas que ce soit trop rapide "Make them suffer" : http://www.youtube.com/watch?v=D5Hv0tsvpyU
(j'aime la musique qui débouche les orifices :p)
Parce que l'éviscération doit rester un art. Petit exemple "Evisceration Plague" : http://www.youtube.com/watch?v=bJHJkJHa-T4
Et ne jamais oublié qu'il ne faut pas que ce soit trop rapide "Make them suffer" : http://www.youtube.com/watch?v=D5Hv0tsvpyU
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Vinze 101010
In theory there's no difference between theory and practice, but in practice there is.
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- M le maudit
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- Silex
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Voyons voir, dans l'ordre de préférence, j'ai lu:
A la poursuite des slans
Les armureries d'Isher
Les fabricants d'armes
Le monde des A
L'homme multiplie
Le silkie
Createur d'univers
La faune de l'espace
J'apprécie la tendance de Van Vogt à inventer des sciences nouvelles et j'ai très envie de lire sa biographie.
A la poursuite des slans
Les armureries d'Isher
Les fabricants d'armes
Le monde des A
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La faune de l'espace
J'apprécie la tendance de Van Vogt à inventer des sciences nouvelles et j'ai très envie de lire sa biographie.
Pour ta liste , pas d'accord avec le 5 & le 6 , , tout le reste est très bon , mais si tu ne connais pas L'empire de l'atome et Le seigneur de Linn , jette-toi dessus , ainsi que sur Destination univers , un merveilleux recueil de nouvelles où les idées foisonnent .Silex a écrit :Voyons voir, dans l'ordre de préférence, j'ai lu:
A la poursuite des slans
Les armureries d'Isher
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J'apprécie la tendance de Van Vogt à inventer des sciences nouvelles et j'ai très envie de lire sa biographie.
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
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Oh, tu parles de quel tome en parlant du dernier ? Fais gaffe, ce n est plus ta flore intestinale qui est en jeu, mais tes yeux...Vinze a écrit :j'ai bon ?
plus sérieusement, j'ai très peu de temps pour lire et j'ai même pas encore fini le dernier tome de Fondation... mais promis je rajoute "lire un livre de Van Vogt" à ma liste des 100000 trucs qu'il faudrait que je trouve le temps de faire pour pouvoir donner un avis.
Moi m'sieur, moi, moi !Cherche assistant "éviscèreur" qualifié pour travail agréable et sportif !
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
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En cette année anniversaire de Darwin, embarquer sur le Space beagle (La Faune de l'espace) me paraît prioritaire... 

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Bonjour,
Pardon de ne me présenter qu'aujourd'hui, mais je n'avais pas remarqué ce topic de présentation.
Qui suis-je ?
J'ai 31 ans, enseignant, historien de formation et documentaliste dans l'enseignement supérieur. J'habite à Nice, ville peu marquée, à ma connaissance, par la culture SF (exceptée le laboratoire de Denise Terrel et les doctorants qu'elle encadra, comme L.Genefort). Mais la proximité du Caruli à Aix pallie un peu à ce relatif isolement.[EDIT: cette affirmation gratuite est, comme me l'ont fait remarquer certains, tout à fait subjective et peu fondée]
C'est donc sur le net que j'ai commencé, il y a 12 ou 13 ans de cela, à tisser mes premiers liens et échanges avec le fandom...américain. J'ai presque été contraint de le faire tant le fandom français était groupusculaire à l'époque (et ça n'a hélàs guère changé)...Mais je ne regrette pas d'avoir fait cet effort, car j'ai trouvé des "amis" aussi remarquables par leur érudition que par leurs qualités de coeur.
Petite précision tout de même, pour ceux qui auraient échappé à mes pavés dont le forum commence à être encombré, quand j'évoque le "fandom" je fais allusion à un groupe particulier et cher à mon coeur : les fans de l'oeuvre de Frank Herbert et de l'univers fictionnel qui s'est construit depuis 50 ans (ou presque) autour de Dune.
Il me faut donc prévenir ceux qui voudront bien me lire : ma "culture" SF tourne fondamentalement autour de cet univers particulier et de tout ce qui peut graviter autour (le "Dunivers"). Pourtant, cela ne signifie pas que mes lectures se restreignent à cette seule passion "monomaniaque".
Dune, la SF et mes autres lectures
Ma culture (de "base" si j'ose dire) est plutôt de facture classique : la Bible, la mythologie, les sagas médiévales, Shakespeare-Milton-Swift, le roman français et russe du 19°, le fantastique et le réalisme magique. J'ai toujours eu un goût prononcé pour les fables philosophiques et les récits spéculaires riches en paradoxes. En d'autres termes, je me reconnais assez dans les exemples que donne Berthelot des "transfictions", mais ça ne m'empêche pas -parfois- de me laisser envoûter par la rêverie du merveilleux...
Quand j'essaye de comprendre ce qui m'a conduit à aligner sur les travées de ma bibliothèque des auteurs aussi dissemblables qu'Eco, Gombrowicz, Borges, Lovecraft, les sagas islandaises, Michel Foucault, Edward Gibbon, Yourcenar ou Proust...j'en viens à penser que ce que j'aime dans la littérature est toujours lié aux idées... de même que je ne prends plaisir à parcourir un argumentaire philosophique que s'il présente un minimum de style.
Des idées et du style, dévoiler le monde sans perdre ce qu'il peut avoir d'enchanté. Comprendre et sentir les choses dans un même mouvement. À la fois dénombrer/dénommer les choses et en percevoir la poésie ou l'absurde. J'ai du mal à trouver les mots justes pour décrire ce rapport à la fois intellect-uel et sentiment-al aux choses qui me conduit à lire des choses très hétérogènes par le style ou le genre, mais toutes marquées par la dualité entre le détail pointilliste et l'universel, entre la description et la symbolique...
Je crois dessiner là un profil qui n'est pas très original chez les lecteurs de SF dont beaucoup me semblent poussés par une insatiable curiosité des réalités de ce monde et une envie parallèle de les transcender...
Dune s'imposa, vous l'imaginez, comme un point de repère dans ma petite géographie littéraire et intellectuelle. J'ai rarement trouvé une oeuvre se prêtant à autant de spéculations, d'interprétations et de niveaux de lecture. Pour paraphraser librement Laurent Genefort, plus qu'un livre-univers.... un univers de livres !
J'imagine que j'ai trouvé là une matière parfaite pour me livrer à mes petits jeux de correspondances et d'analogies auxquelles mes lectures précédentes m'avaient habitué. Mais outre sa dimension textuelle, le "Dunivers" présente pour moi l'intérêt supplémentaire d'offrir une vaste collection d'avatars non littéraires, du cinéma aux jeux, des images aux musiques, des oeuvres de large distribution aux fan labor les plus confidentiels.
Cette double richesse (intertextuelle et intermédiale) explique sans doute l'ancienneté de mon attachement à cet univers fictionnel : les années passent mais ma curiosité est toujours insatisfaite. En vérité, elle ne fait que redoubler et rencontre des préoccupations plus abstraites et moins centrées sur le seul fandom.
Ce que la SF dit des auteurs...et de nous mêmes
Cherchant les influences à l'oeuvre dans l'écriture de Dune, j'ai été amené à progressivement élargir mes recherches à l'ensemble de la New Wave et des héritiers de Campbell et la ruche d'Analog. De fil en aiguille j'ai découvert Cordwainer Smith, Van Vogt et ses liens avec Hubbard, Asimov et les Futurians, Howard et la généalogie du planet-opera, Sprague de Camp et la porosité entre les genres....Mais aussi des liaisons moins évidentes telles que l'influence jungienne, les réseaux écosophiques, le scientisme et ses dérives sectaires et bien d'autres phénomènes qui échappent à l'histoire classique de la SF et la réinscrivent dans une perspective plus sociétale.
Repenser la SF dans la richesse de ses interpénétrations avec la "culture mainstream" s'est ainsi peu à peu imposé à moi et m'a obligé à élargir mes investigations au-delà d'un simple récit historique centré sur l'écriture d'Herbert et ses dettes intellectuelles. L'ancienneté et l'importance du rayonnement de l'univers fictionnel de Dune, la richesse de ses dérivés et son caractère déjà "classique" au sein du monde anglo-saxon m'ont conduit à m'interroger sur le rapport entre le livre, ses dérivés et leur(s) public(s). Qu'est-ce qui explique un tel succès ? Le rapport au roman de 1963-1965 est-il identique pour ceux qui n'ont lu que le 1er volume et ceux qui connaissent l'ensemble du cycle ? Ce rapport est-il modifié pour ceux qui ont connu un de ses dérivés avant de le lire ? Peut-on distinguer des catégories de fans en fonction des médias ou de l'ordre de découverte des différentes oeuvres qui composent cet univers ?
Toutes ces questions sur le lectorat, loin de me couper de mes premières recherches de nature plutôt historique, m'ont au contraire ramené à mes interrogations initiales : que veut dire Herbert ? À qui s'adresse-t-il ? Quels niveaux de sens peut-on discerner dans son écriture ? Jusqu'où peut-on aller ? Et in fine, le sens à donner au Cycle doit-il être recherché dans ce que son auteur a voulu transmettre ou ne doit-on pas plutôt rechercher ce que son/ses public(s) en ont fait en 50 ans de gloses et de détournements ?
De l'auteur au lecteur, de l'original à la copie, mon parcours dunien m'a ainsi ramené à mes premières amours et à ce rapport particulier que j'entretiens avec "l'imaginaire", lieu à la fois de réflexion et de douce introspection, d'ouverture au monde et de contemplation de soi. Actif et quiétiste.
À terme, j'ai l'ambition, un peu folle, de rassembler mes travaux dans une dissertation académique qui pourra utilement encombrer les travées des bibliothèques universitaires de ce côté-ci de l'Atlantique ou de l'autre...J'espère à votre contact trouver quelques réponses à mes nombreuses interrogations et dissiper quelques préjugés et schématismes que je pourrais encore avoir. J'espère aussi qu'à force de conseils et de critiques vous m'aidiez à trouver un style, une expression, un peu moins hermétique et plus agréable. Dieu sait que j'en suis loin !
Pardon de ne me présenter qu'aujourd'hui, mais je n'avais pas remarqué ce topic de présentation.
Qui suis-je ?
J'ai 31 ans, enseignant, historien de formation et documentaliste dans l'enseignement supérieur. J'habite à Nice, ville peu marquée, à ma connaissance, par la culture SF (exceptée le laboratoire de Denise Terrel et les doctorants qu'elle encadra, comme L.Genefort). Mais la proximité du Caruli à Aix pallie un peu à ce relatif isolement.[EDIT: cette affirmation gratuite est, comme me l'ont fait remarquer certains, tout à fait subjective et peu fondée]
C'est donc sur le net que j'ai commencé, il y a 12 ou 13 ans de cela, à tisser mes premiers liens et échanges avec le fandom...américain. J'ai presque été contraint de le faire tant le fandom français était groupusculaire à l'époque (et ça n'a hélàs guère changé)...Mais je ne regrette pas d'avoir fait cet effort, car j'ai trouvé des "amis" aussi remarquables par leur érudition que par leurs qualités de coeur.
Petite précision tout de même, pour ceux qui auraient échappé à mes pavés dont le forum commence à être encombré, quand j'évoque le "fandom" je fais allusion à un groupe particulier et cher à mon coeur : les fans de l'oeuvre de Frank Herbert et de l'univers fictionnel qui s'est construit depuis 50 ans (ou presque) autour de Dune.
Il me faut donc prévenir ceux qui voudront bien me lire : ma "culture" SF tourne fondamentalement autour de cet univers particulier et de tout ce qui peut graviter autour (le "Dunivers"). Pourtant, cela ne signifie pas que mes lectures se restreignent à cette seule passion "monomaniaque".
Dune, la SF et mes autres lectures
Ma culture (de "base" si j'ose dire) est plutôt de facture classique : la Bible, la mythologie, les sagas médiévales, Shakespeare-Milton-Swift, le roman français et russe du 19°, le fantastique et le réalisme magique. J'ai toujours eu un goût prononcé pour les fables philosophiques et les récits spéculaires riches en paradoxes. En d'autres termes, je me reconnais assez dans les exemples que donne Berthelot des "transfictions", mais ça ne m'empêche pas -parfois- de me laisser envoûter par la rêverie du merveilleux...
Quand j'essaye de comprendre ce qui m'a conduit à aligner sur les travées de ma bibliothèque des auteurs aussi dissemblables qu'Eco, Gombrowicz, Borges, Lovecraft, les sagas islandaises, Michel Foucault, Edward Gibbon, Yourcenar ou Proust...j'en viens à penser que ce que j'aime dans la littérature est toujours lié aux idées... de même que je ne prends plaisir à parcourir un argumentaire philosophique que s'il présente un minimum de style.
Des idées et du style, dévoiler le monde sans perdre ce qu'il peut avoir d'enchanté. Comprendre et sentir les choses dans un même mouvement. À la fois dénombrer/dénommer les choses et en percevoir la poésie ou l'absurde. J'ai du mal à trouver les mots justes pour décrire ce rapport à la fois intellect-uel et sentiment-al aux choses qui me conduit à lire des choses très hétérogènes par le style ou le genre, mais toutes marquées par la dualité entre le détail pointilliste et l'universel, entre la description et la symbolique...
Je crois dessiner là un profil qui n'est pas très original chez les lecteurs de SF dont beaucoup me semblent poussés par une insatiable curiosité des réalités de ce monde et une envie parallèle de les transcender...
Dune s'imposa, vous l'imaginez, comme un point de repère dans ma petite géographie littéraire et intellectuelle. J'ai rarement trouvé une oeuvre se prêtant à autant de spéculations, d'interprétations et de niveaux de lecture. Pour paraphraser librement Laurent Genefort, plus qu'un livre-univers.... un univers de livres !
J'imagine que j'ai trouvé là une matière parfaite pour me livrer à mes petits jeux de correspondances et d'analogies auxquelles mes lectures précédentes m'avaient habitué. Mais outre sa dimension textuelle, le "Dunivers" présente pour moi l'intérêt supplémentaire d'offrir une vaste collection d'avatars non littéraires, du cinéma aux jeux, des images aux musiques, des oeuvres de large distribution aux fan labor les plus confidentiels.
Cette double richesse (intertextuelle et intermédiale) explique sans doute l'ancienneté de mon attachement à cet univers fictionnel : les années passent mais ma curiosité est toujours insatisfaite. En vérité, elle ne fait que redoubler et rencontre des préoccupations plus abstraites et moins centrées sur le seul fandom.
Ce que la SF dit des auteurs...et de nous mêmes
Cherchant les influences à l'oeuvre dans l'écriture de Dune, j'ai été amené à progressivement élargir mes recherches à l'ensemble de la New Wave et des héritiers de Campbell et la ruche d'Analog. De fil en aiguille j'ai découvert Cordwainer Smith, Van Vogt et ses liens avec Hubbard, Asimov et les Futurians, Howard et la généalogie du planet-opera, Sprague de Camp et la porosité entre les genres....Mais aussi des liaisons moins évidentes telles que l'influence jungienne, les réseaux écosophiques, le scientisme et ses dérives sectaires et bien d'autres phénomènes qui échappent à l'histoire classique de la SF et la réinscrivent dans une perspective plus sociétale.
Repenser la SF dans la richesse de ses interpénétrations avec la "culture mainstream" s'est ainsi peu à peu imposé à moi et m'a obligé à élargir mes investigations au-delà d'un simple récit historique centré sur l'écriture d'Herbert et ses dettes intellectuelles. L'ancienneté et l'importance du rayonnement de l'univers fictionnel de Dune, la richesse de ses dérivés et son caractère déjà "classique" au sein du monde anglo-saxon m'ont conduit à m'interroger sur le rapport entre le livre, ses dérivés et leur(s) public(s). Qu'est-ce qui explique un tel succès ? Le rapport au roman de 1963-1965 est-il identique pour ceux qui n'ont lu que le 1er volume et ceux qui connaissent l'ensemble du cycle ? Ce rapport est-il modifié pour ceux qui ont connu un de ses dérivés avant de le lire ? Peut-on distinguer des catégories de fans en fonction des médias ou de l'ordre de découverte des différentes oeuvres qui composent cet univers ?
Toutes ces questions sur le lectorat, loin de me couper de mes premières recherches de nature plutôt historique, m'ont au contraire ramené à mes interrogations initiales : que veut dire Herbert ? À qui s'adresse-t-il ? Quels niveaux de sens peut-on discerner dans son écriture ? Jusqu'où peut-on aller ? Et in fine, le sens à donner au Cycle doit-il être recherché dans ce que son auteur a voulu transmettre ou ne doit-on pas plutôt rechercher ce que son/ses public(s) en ont fait en 50 ans de gloses et de détournements ?
De l'auteur au lecteur, de l'original à la copie, mon parcours dunien m'a ainsi ramené à mes premières amours et à ce rapport particulier que j'entretiens avec "l'imaginaire", lieu à la fois de réflexion et de douce introspection, d'ouverture au monde et de contemplation de soi. Actif et quiétiste.
À terme, j'ai l'ambition, un peu folle, de rassembler mes travaux dans une dissertation académique qui pourra utilement encombrer les travées des bibliothèques universitaires de ce côté-ci de l'Atlantique ou de l'autre...J'espère à votre contact trouver quelques réponses à mes nombreuses interrogations et dissiper quelques préjugés et schématismes que je pourrais encore avoir. J'espère aussi qu'à force de conseils et de critiques vous m'aidiez à trouver un style, une expression, un peu moins hermétique et plus agréable. Dieu sait que j'en suis loin !
Modifié en dernier par Askaris le mer. oct. 14, 2009 11:21 pm, modifié 3 fois.
Avec la présence d'Ugo Bellagamba, Eric Picholle, Timothée Rey, Hélène Cruciani, Fabrice Anfosso, Hélène Fairmarch ou ma pomme, et les repas SF, on ne s'en sort pas trop malAskaris a écrit :J'habite à Nice, ville peu marquée, à ma connaissance, par la culture SF.

*se demande qui elle a oublié et va lui en vouloir*
Je connaissais Bellagamba mais à ma plus grande honte j'ignorais l'existence de ces autres compatriotes nissarts...Mea culpa....Princesse Chaos a écrit :Avec la présence d'Ugo Bellagamba, Eric Picholle, Timothée Rey, Hélène Cruciani, Fabrice Anfosso, Hélène Fairmarch ou ma pomme, et les repas SF, on ne s'en sort pas trop malAskaris a écrit :J'habite à Nice, ville peu marquée, à ma connaissance, par la culture SF.![]()
*se demande qui elle a oublié et va lui en vouloir*

PS : j'espère que tu as eu le courage de dépasser le 1er paragraphe (je sais c'est looooooong pour un topic de présentation, mais je suis trop mauvaise plume pour faire bref...)
Modifié en dernier par Askaris le mar. août 11, 2009 4:41 pm, modifié 1 fois.
Ben, c'est ça de ne pas sortir de chez soi, on connait mieux le fandom US que ses propres voisinsAskaris a écrit :Je connaissais Bellagamba mais à ma plus grande honte j'ignorais l'existence de ces autres compatriotes nissarts...Mea culpa....Princesse Chaos a écrit :Avec la présence d'Ugo Bellagamba, Eric Picholle, Timothée Rey, Hélène Cruciani, Fabrice Anfosso, Hélène Fairmarch ou ma pomme, et les repas SF, on ne s'en sort pas trop malAskaris a écrit :J'habite à Nice, ville peu marquée, à ma connaissance, par la culture SF.![]()
*se demande qui elle a oublié et va lui en vouloir**honte bue*

(Désolée, mais je viens de lire le premier tome des Geeks et de World of no life...)
C'est vrai, on fait la route de la soie pour ramener des pâtes, alors qu'on a les mêmes à la maison...Princesse Chaos a écrit :
Ben, c'est ça de ne pas sortir de chez soi, on connait mieux le fandom US que ses propres voisins![]()
(Désolée, mais je viens de lire le premier tome des Geeks et de World of no life...)
Plus sérieusement, je pensais surtout à la SF universitaire quand je parlais d'isolement relatif. Et côté amateurs éclairés, je pensais aussi plus particulièrement au fandom herbertien (ne me dis pas que j'ai raté ça aussi

Pour un fandom spécialisé, comme on l'a évoqué sur d'autres fils, je doute que ce soit un comportement français... En tout cas, perso, je n'aimerais pas rencontrer des gens complètement dans un trip et qui passent à côté du reste.Askaris a écrit :Plus sérieusement, je pensais surtout à la SF universitaire quand je parlais d'isolement relatif. Et côté amateurs éclairés, je pensais aussi plus particulièrement au fandom herbertien (ne me dis pas que j'ai raté ça aussi)
Depuis quelques années (déjà ?), on se fait des petits restos SF, histoire de ne pas passer à côté de nos propres voisins et, avec le caractère doux et chaud du sud, ça ne peut que donner de bons résultats

(L'emploi d'"amateurs éclairés" me laisse songeuse, car je ne suis pas certaine de la façon dont tu l'emploies... mais tout cela fait dévier ce fil inutilement, je m'en vais sur la pointe des pieds.)