Né en 1957, Anthony Horowitz est un auteur anglais jeunesse très connu, qui a reçu plusieurs prix littéraires. Il a aussi réalisé les scénarios de séries télévisées.

 

« Scorpia » est le cinquième tome de sa série la plus connue (neuf livres vendus à 13 millions d’exemplaires dans le monde !) sur Alex Rider, un jeune espion anglais. 

 

 

Alex est hanté par les derniers mots de Yasen Gregorovitch, qui lui disaient de retrouver Scorpia. Ainsi, il connaîtrait son destin. Mais Scorpia est une agence criminelle : «S» pour Sabotage, «Corp» pour Corruption, «I» pour Intelligence (Espionnage) et «A» pour Assassinat. 

 

Scorpia lui montre une vidéo de son père avant sa mort sur un pont. Cette vidéo convainc Alex de travailler pour Scorpia, mais cela fait de lui un traître pour le MI6. Les tests psychologiques imposés par Scorpia sont un échec pour Alex, car il n’a envie de tuer personne. 

 

L’agence terroriste a posé un ultimatum aux Américains et aux Anglais : le Président américain doit démissionner et la Grande-Bretagne doit donner plusieurs milliards d’Euros à Scorpia. Alex est la seule personne à pouvoir sauver des milliers de collégiens anglais menacés. 

 

 

J’aime bien ce tome d’Alex Rider, même si je préfère le 2 et le 4. 

 

Il y a toujours du suspense et de l’aventure. On découvre sous un nouveau jour l’un des amis d’Alex : Tom. On découvre aussi Mme Rothman, qui dirige Scorpia. L’histoire se passe à Venise, où se trouve l’agence, et en Angleterre.

 

Comme il n’était pas attendu au MI6, il a moins de matériel d’espionnage (gadgets) que dans les autres livres : un appareil dentaire pour alerter des secours, par exemple. 

 

A la fin du livre, Alex va avoir une très mauvaise surprise !