
Dans la baie du Maryland, une bactérie non identifiée contamine le lac et ceux qui s’en approchent…
Bande-annonce :
TERREURVISION : « L'enchainement des facteurs qui vont mener droit à la catastrophe suffit pour remplir le spectateur d'effroi tellement cela semble plausible et pourrait se dérouler dans la réalité. À ce titre, The Bay peut aussi être considéré comme un film d'anticipation horrifique, très persuasif. »
HORREUR-WEB : « Si elle n’est pas parfaite, cette œuvre troublante et efficace qui aurait beaucoup à enseigner aux films de son genre (Contagion) s’impose comme l’une des trop rares qui hantent l'esprit bien après l’apparition de son générique. »
EXCESSIF/TF1 : « Le résultat, outrancier et grand-guignolesque, a le mérite de poser quelques questions dans l'air du temps, comme Diary of the dead, de George A. Romero, auquel on pense beaucoup. »
PREMIERE : « Le résultat est à la fois horrifiant et vraisemblable, d’autant que certains éléments de la fiction sont inspirés de faits réels. »
CRITIKAT : « Parce qu’avec ses mille caméras il s’emploie à la traquer partout, The Bay ne trouve la peur nulle part. Souvent, le film donne la drôle d’impression de s’emballer tout seul. Son exhaustivité lui permet d’empiler les intentions mais l’empêche de prendre du recul sur sa trajectoire – terriblement prévisible – et sur son mouvement – répétitif et ennuyeux. »
TÉLÉRAMA : « Qu'attend-on d'un film d'horreur ? Qu'il fasse peur, bien sûr. Mais aussi qu'il soit porteur d'un regard subversif sur la société. Double mission remplie avec brio par le vétéran Barry Levinson, qu'on n'attendait pas vraiment dans un tel registre. »

Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité.
Bande-annonce :
SCI-FI UNIVERSE : « Man of Steel n'est pas parfait, loin de là hélas, mais passer à côté serait une belle erreur. »
JOURNAL DU GEEK : « Un film à tout de même aller voir, rien que pour le plaisir de redécouvrir Superman sur grand écran. »
EXCESSIF/TF1 : «Sans doute trop attendu, annoncé comme le meilleur film de super-héros depuis The Dark Knight de Christopher Nolan par les premières critiques américaines dithyrambiques, Man of Steel se hisse partiellement à la hauteur des espérances. »
CRITIKAT : « Quand il parvient à s’affranchir de l’époque, Zack Snyder, le dernier qu’on attendait sur ce terrain, amène un instant une oasis, un souffle d’air ; mais l’implacable façon qu’ont ces espoirs de toujours se dissiper nous fait presque n’y voir plus rien que de fuyants mirages, dans un triste désert où, dorénavant, tous les films de super-héros se ressemblent. »
TÉLÉRAMA : « Reste l'impression d'un panachage calculé, divertissant sans être original. S comme standardisé ? »

En 1980, Stanley Kubrick signe Shining, qui deviendra un classique du cinéma d'horreur. A la fois admiré et vilipendé, le film est considéré comme une oeuvre marquante du genre par de nombreux experts, tandis que d'autres estiment qu'il est le résultat du travail bâclé d'un cinéaste de légende se fourvoyant totalement. Entre ces deux extrêmes, on trouve cependant les théories de fans acharnés du film, convaincus d'avoir décrypté les messages secrets de Shining.
Room 237 mêle les faits et la fiction à travers les interviews des fans et des experts, et propose sa relecture du film grâce à un montage très personnel. Room 237 ne parle pas seulement de fans d'un film mythique – il évoque les intentions de départ du réalisateur, l'analyse et la critique du film.
Bande-annonce :
TERREURVISION : « Les théories présentées, aussi peu réalistes soient-elles, sont évoquées avec un tel sérieux qu'elles en deviennent autant de fantômes et d'énigmes qui hantent à jamais la chambre 237. »
DEVILDEAD : « Un brillant travail d'équilibriste qui parvient a amuser autant qu'a interpeller. »
EXCESSIF/TF1 : « Pur film de cinéphile fétichiste, Room 237 s'avère passionnant. »
PREMIERE : « Psychanalyse sauvage d’un film-cerveau, Room 237 donne envie de revoir Shining. À l’infini. »
CRITIKAT : « le film – et les théories qu’il présente – serait nettement plus efficace si Ascher s’était donné la peine de réfléchir un tant soit peu à la façon de filmer cette paranoïa cinéphile. »
TÉLÉRAMA : « Room 237 nous tend un miroir, en montrant les innombrables mutations d'une oeuvre dans le regard même de ses spectateurs. »
Sylvain Fontaine