Parutions : collection Frisson chez Sirius

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A paraître également... 

En octobre : 

La femme vampire d'Ernst Theodor Wilhelm (E.T.A) Hoffman 
suivi de La Guzla de Prosper Mérimée 
 

« Le comte Hypolite était revenu exprès d’un voyage lointain pour prendre possession du riche héritage de son père, qui venait de mourir. Le château patrimonial était situé dans la contrée la plus riante, et les revenus des terres adjacentes pouvaient amplement fournir aux embellissements les plus dispendieux. 
Or, le comte résolut de réaliser et de faire revivre à ses yeux tout ce qui avait, en ce genre, frappé le plus vivement son attention dans ses voyages, principalement en Angleterre, c’est-à-dire tout ce qui pouvait se faire de plus somptueux, de plus attrayant et de meilleur goût. (…) Il se trouvait précisément un matin assis devant sa table de travail, occupé d’esquisser le dessin d’un nouveau corps de bâtiment, lorsqu’une vieille baronne, parente éloignée de son père, se fit annoncer. » 
Mais la baronne n’est pas vieille, et sa beauté fort dangereuse… 
Cette nouvelle est accompagnée d’une supercherie célèbre que Mérimée fait paraître, en 1827, sous l'anonymat, La Guzla, des poésies illyriques recueillies dans la Dalmatie, la Croatie et l'Herzégovine, et où il est question de vampires ! 

Et en décembre : 

La Famille Vourdalak d’Alexei Tolstoï 
Histoire de la dame pâle d’Alexandre Dumas 
La Baronne trépassée de Ponson du Terrail 
 
LA FAMILLE DU VOURDALAK 
En 1815, lors d'une soirée entre gens de la haute société, le Marquis d'Urfé raconte l'histoire macabre qu'il a personnellement vécu une cinquantaine d'années plus tôt : sa rencontre avec une famille de paysans serbes sous la menace d'un vourdalak. En effet, le vourdalak ne s’en prend qu’à ses proches… 
HISTOIRE DE LA DAME PALE 
« Je suis Polonaise, née à Sandomir, c’est-à-dire dans un pays où les légendes deviennent des articles de foi, où nous croyons à nos traditions de famille autant, plus peut-être qu’à l’Evangile. Pas un de nos châteaux qui n’ait son spectre, pas une de nos 
chaumières qui n’ait son esprit familier. » Hedwige va devenir l'enjeu de la lutte et de la haine à mort des deux frères ennemis. 
Car l’un des deux est un vampire… 
LA BARONNE TREPASSEE 
À la suite d'un pari qu'il a perdu, Hector de Nossac devient durant vingt-quatre heures l'esclave d'une femme qui fut sa maîtresse. 
Celle-ci vient réclamer son dû le soir des noces du baron. Sa jeune épouse disparaît. Est-elle morte, est-elle vivante ? Est-ce son spectre qui hante les cimetières ? Est-elle ce vampire qui trouble les nuits du baron de Nossac ? 
Piège, machination, épouvante, telle est l'atmosphère de cet ouvrage paru en 1852. 
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