Quels arguments ?Erion a écrit :Non, parce que si tu avais vraiment lu mes interventions, tu aurais noté celle de mon critique japonais qui disait qu'on ne pouvait PAS écrire sur le futur.
Mais bon, c'est toujours le même problème, tu écoutes un temps, puis tu régresses à ta position de départ, comme s'il n'y avait pas eu de discussions, ni d'arguments.
J'attends ta liste – massive, flagrante – de textes mainstream traitant de l'immortalité concrète.
Je survole de mon côté le Versins qui dit basiquement (puisque c'est la vérité) :
Je survole aussi le Clute & Nicholls…Et voici, mesdames et messieurs, le plus ancien thème de l'histoire de l'humanité. Lorsqu'Enkidou mourut, son ami Gilgamesh s'aperçut qu'il était mortel aussi et il partit en quête de l'éternité. (…) Cinq mille ans plus tard, au cours d'un des meilleurs romans de la SF moderne, Jack Barron et l'éternité de Spinrad, Jack Barron en fit autant, ni plus, ni moins. Au fil des millénaires, le thème n'a pas varié, seules les modalités ont changé, évolué, ainsi que l'appréciation des auteurs qui va de l'acceptation au refus.
…qui recense les œuvres modernes où des motifs décisifs du thème ont été établis (ne parlons pas de celles qui se contentent de recycler ces motifs) :Immortality is one of the basic motifs of speculative though
– La série du professeur Jameson, de Neil R. Jones
– The man who awake, de Laurence Manning
– Life everlasting, de David H. Keller
– Invariant, de John R. Pierce
– Live is forever, de John McIntosh
– At death's end, de James Blish
– Wolrd without children, de Damon Knight
– Drunkard's walk, de Frederik Pohl
– The worm that flies, de Brian Aldiss
– Their immortal hearts, de Bruce McAllister
– To live forever, de Jack Vance
– The immortals, de James Gunn
– Trouble with lichen, de John Wyndham
– Bug Jack Barron, de Norman Spinrad
– One million's tomorrow, de Bob Shaw
– The book of skulls, de Robert Silverberg
– The weariest river, de Thomas Scortia
– Eternity, de Mac Reynolds
– The weapon's maker, de A. E. Van Vogt
– The time masters, de Wilson Tucker
– Way station, de Clifford Simak
– This immortal, de Roger Zelazny
– Time enough for love, de Robert Heinlein
– The Eden Cycle, de Raymond Z. Gallun
– Dancers at the end of time, de Michael Moorcock
– Born with the dead, de Robert Silverberg
– Sailing to byzantium, du même
– Wild seed, d'Octavia Butler
– The golden space, de Pamela Sargeant
– Welcome, chaos, de Kate Willem
– The boat of a million years, de Poul Anderson
– The tithonian factor, de Richard Cowper
– Dio, de Damon Knight
– Islands, de Martha Randall
– Outnumbering the living, de Frederik Pohl
– The immortalist, de Alan Harrington
– The third millenium, de Stableford et Langsford
– The empire of fear, de Brian Stableford
– Death and the serpent (essai sur l'immortalité dans la SF), de Yoke et Hassler
– Immortal (anthologie), de Jack Dann
Vos arguments pour l'instant :
– Tous les hommes sont mortels de Simone de Beauvoir
et
– les concepts sont discontinus. L'immortalité scientifique n'a rien à voir avec l'immortalité MR ; elle est plutôt comme le vélo.