Mais puisqu'on te dit qu'il y a jamais eu d'insulte, quoi ! Ils voulaient juste discuter (bon, avec un flingue ou un taser, je sais pas, mais c'est juste pour pas envenimer la discussion).Anne a écrit : Vous balancez à la tête d'Henri qu'il écrit de la merde, il renvoie des paquets de merde à la tête de celui qu'il considère comme chef de file ou dont il a été proche (qu'en sais-je?) et vous arrivez avec un drapeau blanc en prônant le dialogue.
Eric, je te rappelle que tu as fait partie des gens qui ont trouvé "indécent" de la part de Loevenbruck et Werber le fait de demander de la reconnaissance littéraire. Indécence au nom du fait qu'ils vendent beaucoup et qu'ils écriraient mal.
Tout ce qu'on aurait souhaité, plutôt que venir sur le terrain du "qu'est-ce que bien écrire", qui est un champ de mine, c'est que vous accordiez autant à Loevenbruck et Werber le droit de vouloir de la reconnaissance que vous en accordez à, par exemple, Lehman et Colin (vu que tous deux ont écrit au sujet de la reconnaissance). Juste ça, plutôt que monter sur vos grands chevaux, avec la grande oriflamme de la littérature qu'on défend comme une forteresse assiégée.
Tout débat sur la question de la reconnaissance littéraire (c'est pas faute de le répéter, hein) est vicié à la base, au milieu, et au sommet. Parce que, ce qu'un auteur, critique, éditeur, désigne comme étant une marque de reconnaissance littéraire, n'est jamais identique.
Résultat, comme vous, nous, tout le monde, nous sommes incapables de nous mettre d'accord sur ce concept, on commence à balancer le tapis de bombe du "pour être reconnu faut écrire bien". Et là, apparaissent des oppositions et des fronts totalement irréconciliables qui reposent soit sur des postures idéologiques, soit sur des convictions profondes et de l'émotion personnelle.
Bref, ca finit toujours en attaques ad hominem. Pour preuve, ce fil (et encore, on s'est retenu, faut voir comment Facebook a servi de défouloirs à certains pour pas déclencher la guerre de cent ans sur ce forum).
Alors, si vous voulez pas que ça reparte à chaque fois que le sujet revient sur le tapis, acceptez que Loevenbruck et Werber peuvent légitimement demander la reconnaissance littéraire. Et puis parlez d'autre chose. Il fait beau, les filles sont jolies, et y'a des bières dans le frigo.