Heu là, je n'en ai pas la moindre idée, et à vrai dire, je ne suis même pas fichue de distinguer si tu fais dans l'ironie ou non. (qu'est-ce qu'on disait plus haut, sur l'ironie ? A propos des lectures jeunesse ? Eh bien c'est pire en forum !)Roland C. Wagner a écrit :Continue, tu es sur la bonne voie.Lucie a écrit :(puisqu'il est bien entendu que de nos jours, les valeurs de la contre-culture, mai 68, et le mouvement hippie sont à mettre à la poubelle, et qu'en conséquence, il est admirable de haïr et méprisable d'aimer et de prôner l'amour et l'amitié).
C'est drôle, ça me rappelle absolument l'essai d'Anne Larue dont je vous parlais plus haut. Je commence à percevoir la raison pour laquelle on l'a censuré, ce bouquin.
L'essor de la SF écrite, le moment où en France elle a eu le plus grand rayonnement, coïncide avec quelle période ?
La SF écrite, et en France, oui mais SF française ou non ? Si c'est y compris la SF américaine, je peux juste te dire le moment où elle a eu le plus grand rayonnement pour moi, en tant que lectrice. Ça a été au tout début des années 70 (j'avais environ 10 ans) avec Cosmos Privé et quelques autres PJ Farmer, que mes cousines (bénies soient-elles) plus âgées que moi avaient laissés chez notre grand-père.
Quant à la SF française, je pense que tu ne l'ignores pas, Miss Univers is my goddess

J'ai dévoré tout ce que j'ai pu de SF française, américaine ou autre durant les années 70, et dans les années 80, je m'en suis éloignée. Mais je ne sais pas si c'est parce que la SF de l'époque m'attirait moins, ou plus simplement parce que j'ai démarré des études scientifiques. À une époque de ma vie, découvrir les merveilles que recèle une mitochondrie dépassait de loin tout ce que les écrivains de SF pouvaient imaginer.
Du coup, je me suis mise à lire surtout de la fantasy (mais ça ne s'appelait pas comme ça à l'époque), et toujours du fantastique, de la littérature générale, des romans historiques, des polars, etc.
Et des BD