yep !orcusnf a écrit :la sf était un assassin qui voulait effacer ses traces olfactives ?
c'est elle qui a tué le métaphysique dans le boudoir avec un pistolaser
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
yep !orcusnf a écrit :la sf était un assassin qui voulait effacer ses traces olfactives ?
Mais non, la MP est morte d'ennui après avoir essayé de lire le sujet qui lui était consacrée ici.MF a écrit :yep !orcusnf a écrit :la sf était un assassin qui voulait effacer ses traces olfactives ?
c'est elle qui a tué le métaphysique dans le boudoir avec un pistolaser
Oui, la vitamine D !orcusnf a écrit :a-t-elle jamais sentie autre chose ?dracosolis a écrit :oui mais tu sais bien que la SF, ça sent le sapin, Rô, enfin!
On peut lui crever les yeux, d'abord. On avisera après si ça ne suffit pas...bormandg a écrit :Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même. Lui interdire toute capacité de réflexion, la restreindre au space-opera de base...
Et on pourtant on peut écrire du space opera steampunk.bormandg a écrit :Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même. Lui interdire toute capacité de réflexion, la restreindre au space-opera de base...
Absolument, le steampunk est un ajout, pas une restriction. C'est le refus du steampunk qui pose problème.Fabien Lyraud a écrit :Et on pourtant on peut écrire du space opera steampunk.bormandg a écrit :Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même. Lui interdire toute capacité de réflexion, la restreindre au space-opera de base...
N'est-ce pas toi qui critique sans arrêt ces auteurs de littérature "blanche" qui se regardent le nombril?Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même.
Je crois que le nombril de la SF est plus intéressant que celui de Rinaldi; mais le steampunk fait un peu plus que de l'autopromotion à la Rinaldi.Patrice a écrit :Salut,
N'est-ce pas toi qui critique sans arrêt ces auteurs de littérature "blanche" qui se regardent le nombril?Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même.
A+
Patrice
on peut écrire mais a-t-on écrit ?Fabien Lyraud a écrit :Et on pourtant on peut écrire du space opera steampunk.bormandg a écrit :Perso, j'ai toujours pris la steampunk pour une littérature SUR la SF, une sorte de second degré. Tuer le steampunk exigerait alors de tuer une des qualités fondamentales de la SF, la capacité à se regarder elle-même. Lui interdire toute capacité de réflexion, la restreindre au space-opera de base...