En plus d'être soporifique, ça gâche quelque part tous les trucs précédent, un peu comme quand Asimov tenait absolument à faire de son oeuvre une espèce de tout cohérent, en dépit du bon sens. A fuir, à faire comme si ça n'existait pas ! (sauf pour les essayistes).Priscille a écrit :C'est idiot. C'est le second volume d'un cycle très complexe, avec une réalité changeante, où coexistent le pays des Merveilles, le pays d'Oz, le monde de Révolte sur la Lune, etc. Sans l'exposition de ce multivers dans The number of the Beast, le Chat passe-muraille est incompréhensible. C'est même fou qu'un éditeur ait pu le traduire et le vendre comme un single shot !Sand a écrit : tout le monde me l'ayant recommandé comme "bonne approche de l'auteur"
Oncle Joe