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Mille excuses, j'ai réagi à chaud en découvrant ce fil à l'instant.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Yeah, right.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.
JDB
L'argument mérite mieux que ça. Si être écrivain, c'est gagner sa vie en alignant des mots sur du papier, le rédacteur de procédures industrielles en est un. Et il n'y a aucune raison de les prendre de haut : c'est un job très utile et très difficile. Le moindre faux sens sur un détail technique peut planter la procédure. Que le traducteur SF qui ne s'est jamais vautré sur une subtilité de ce genre jette la première pierre.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
J'adore quand on répond aux arrière-pensées qu'on me prête plutôt qu'aux propos que j'ai émis.Priscille a écrit :L'argument mérite mieux que ça. Si être écrivain, c'est gagner sa vie en alignant des mots sur du papier, le rédacteur de procédures industrielles en est un. Et il n'y a aucune raison de les prendre de haut : c'est un job très utile et très difficile. Le moindre faux sens sur un détail technique peut planter la procédure. Que le traducteur SF qui ne s'est jamais vautré sur une subtilité de ce genre jette la première pierre.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
Si maintenant tu ne parles que des écrivains et des traducteurs qui font un réel travail "littéraire" sur la langue, c'est en effet un autre métier. Puisque tu sembles considérer qu'il y a au moins deux catégories de traducteurs, ceux qui sont des écrivains et ceux qui n'en sont pas, comment les distingue-t-on, selon toi ? Il me semble qu'il ne suffit pas de cotiser à l'AGESSA, comme cela a été suggéré.
Moi aussi, quand je me donne la peine d'être claire et explicite. Mais on ne peut pas à la fois manier l'ironie et réclamer d'être pris au premier degré.JDB a écrit : J'adore quand on répond aux arrière-pensées qu'on me prête plutôt qu'aux propos que j'ai émis.
Alors, au premier degré : rien à dire. Tu fais ce que tu veux avec qui tu veux.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
Selon cette distinction, le traducteur est plus proche de 'l'auteur de procédures, qui écrit aussi à la commande, que de celui de romans.Cela dit, je crois avoir répondu sérieusement à un post ultérieur
Brillante démonstration de ta part, une fois de plus.Prsicille a écrit :Alors, au premier degré : rien à dire. Tu fais ce que tu veux avec qui tu veux.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
Est-il néanmoins permis de soupçonner l'ombre d'une antiphrase, et que tu pourrais avoir trouvé antipathique le rappel que l'auteur de procédures industrielles est à sa façon un écrivain, comme le traducteur ? Si oui, il me semble qu'on peut légitimement en déduire que le rapprochement est abusif et donc qu'il y a pour toi plusieurs catégories d'écrivains différentes. D'où ma question, très sérieuse : selon toi, comment les reconnaît-on ?
Tu écris :Priscille a écrit :[Est-il néanmoins permis de soupçonner l'ombre d'une antiphrase, et que tu pourrais avoir trouvé antipathique le rappel que l'auteur de procédures industrielles est à sa façon un écrivain, comme le traducteur ? Si oui, il me semble qu'on peut légitimement en déduire que le rapprochement est abusif et donc qu'il y a pour toi plusieurs catégories d'écrivains différentes. D'où ma question, très sérieuse : selon toi, comment les reconnaît-on ?
Selon cette distinction, le traducteur est plus proche de 'l'auteur de procédures, qui écrit aussi à la commande, que de celui de romans.Cela dit, je crois avoir répondu sérieusement à un post ultérieur
Il me semble que, sur le fond, l'argument de Virprudens est bien, lui, à prendre au premier degré. Je me suis donc contentée de le paraphraser d'une façon qui me semblait, sur la forme, moins brutale. Encore raté.Aldaran a écrit : Manque néanmoins l'analyse du degré de la réponse de Virprudens. Mais les propos d'un troll énervé doivent-ils s'analyser ou seuls ceux de ses interlocuteurs le méritent ?
Non, je ne te prête aucun sous-entendu. J'ai cru comprendre que, pour toi, il y avait différentes catégories de professionnels de l'écriture, certaines plus littéraires que d'autres. Si je me trompe et si tu considère qu'il n'y en a qu'une, il suffit de le dire clairement pour me détromper. Je ferai même amende honorable, si tu veux.JDB a écrit :Pour me résumer, tu me demandes encore une fois de justifier les sous-entendus que tu me prêtes. Je ne peux pas te répondre.
C'est drôle. J'avais cru faire précéder cette phrase d'un "selon cette distinction" (mais c'est sans doute moi moi qui te prête des sous-entendus et des idées qui ne sont pas les tiennes...)JDB a écrit :Tu écris :
" le traducteur est plus proche de 'l'auteur de procédures, qui écrit aussi à la commande, que de celui de romans".
Je le redis donc : Selon la distinction que tu as toi-même introduite, le traducteur est plus proche de l'auteur de procédures, qui écrit aussi à la commande, que de celui de romans. Il l'est aussi, si tu veux, du boucher qui prépare le rôti au client qui l'a commandé, mais je n'étais pas allée jusque là : parmi les sous-entendus que je te prêtais (eh si, finalement !), il y avait l'idée que nous avions tous compris que ce fil concernait les métiers de l'écriture.JDB a écrit : La principale différence entre un auteur et un traducteur, à mon sens, c'est qu'il est rare que le traducteur travaille sans l'assurance d'être payé.
Parce que tu n'aimes pas qu'on te fasse remarquer que tu t'es mal exprimé ? A mon humble avis, ça ne justifie quand même ni un crime, ni un hara-kiri !JDB a écrit :D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi, j'ai envie d'attraper un grand couteau en ce moment.
Ah, ben d'accord. S'il te semble, tout va bien. Je n'y avais pas songé.Priscille a écrit :Il me semble que, sur le fond, l'argument de Virprudens est bien, lui, à prendre au premier degré.Aldaran a écrit : Manque néanmoins l'analyse du degré de la réponse de Virprudens. Mais les propos d'un troll énervé doivent-ils s'analyser ou seuls ceux de ses interlocuteurs le méritent ?
Et je maintiens : Priscille ne répond pas à mes propos, mais aux arrière-pensées qu'elle me prête (à tort).Priscille a écrit :L'argument mérite mieux que ça. Si être écrivain, c'est gagner sa vie en alignant des mots sur du papier, le rédacteur de procédures industrielles en est un. Et il n'y a aucune raison de les prendre de haut : c'est un job très utile et très difficile. Le moindre faux sens sur un détail technique peut planter la procédure. Que le traducteur SF qui ne s'est jamais vautré sur une subtilité de ce genre jette la première pierre.JDB a écrit :Tu sais que tu m'es de plus en plus sympathique ?Virprudens a écrit :Un mec qui fait des procédure industrielles aussi.LDavoust a écrit :Sinon, Virprudens, un traducteur est un écrivain.
Si maintenant tu ne parles que des écrivains et des traducteurs qui font un réel travail "littéraire" sur la langue, c'est en effet un autre métier. Puisque tu sembles considérer qu'il y a au moins deux catégories de traducteurs, ceux qui sont des écrivains et ceux qui n'en sont pas, comment les distingue-t-on, selon toi ? Il me semble qu'il ne suffit pas de cotiser à l'AGESSA, comme cela a été suggéré.
Tu connais probablement, puisque tu n'avais toi-même pas hésité à le qualifier de troll.Aldaran a écrit : Ça fait comment d'être dans la tête des gens ? Tu peux choisir ou c'est seulement certaines catégories qui te permettent de préjuger de leurs pensées ?
D'accord, c'est parti pour l'explication de texte.JDB a écrit :Je reviens à la première réaction de Priscille à mes propos (en mettant volontairement une phrase en gras)
C'est ce que je pense. Je ne t'attribue donc aucune arrière-pensée ici.Priscille a écrit : L'argument mérite mieux que ça.
C'est une paraphrase de Virprudens. Je ne t'attribue donc aucune arrière-pensée ici. Il a le droit de râler, pas toi.Si être écrivain, c'est gagner sa vie en alignant des mots sur du papier, le rédacteur de procédures industrielles en est un.
C'est ce que je pense. Je ne t'attribue donc aucune arrière-pensée ici.Et il n'y a aucune raison de les prendre de haut : c'est un job très utile et très difficile. Le moindre faux sens sur un détail technique peut planter la procédure. Que le traducteur SF qui ne s'est jamais vautré sur une subtilité de ce genre jette la première pierre.
C'est une hypothèse (tu as peut-être remarqué le "si" ?), basée sur ma compréhension de ce que tu as dit jusqu'ici. C'est au moins la quatrième fois maintenant qu'elle vient sur le tapis. Mais si elle est fausse, il est encore temps de le dire !Si maintenant tu ne parles que des écrivains et des traducteurs qui font un réel travail "littéraire" sur la langue
C'est ce que je pense, etc.c'est en effet un autre métier.
C'est un corollaire immédiat de l'hypothèse précédente.Puisque tu sembles considérer qu'il y a au moins deux catégories de traducteurs, ceux qui sont des écrivains et ceux qui n'en sont pas
C'est une question, qui n'aura donc pas de réponse. Dommage.comment les distingue-t-on, selon toi ?
C'est ce que je pense, etc.Il me semble qu'il ne suffit pas de cotiser à l'AGESSA, comme cela a été suggéré.
Pas l'ombre d'une arrière-pensée que j'aurais pu te prêter, donc, en gras ou pas. Mais maintiens ce que tu veux, si ça te semble plus intéressant que de répondre simplement à une question honnête.JDB a écrit :Et je maintiens : Priscille ne répond pas à mes propos, mais aux arrière-pensées qu'elle me prête (à tort).
