CLEER de L.&L. Kloetzer

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Fifokaswiti
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Message par Fifokaswiti » dim. janv. 16, 2011 2:40 pm

Cachou a écrit :(alors je vais encore t'en donner l'occasion ^_^)
Chouette.
Mais ce n'est pas la partie qui m'avait le plus fait tiquer. Par exemple, prends l'explication au début de la p.48 (si tu as encore le livre). Je n'ai pas réussi à déterminer si c'était ironique ou pas, dans le sens que je n'ai rien trouvé autour de ce discours ou après dans le livre qui démente le fait que ce qui y est expliqué est la bonne solution pour améliorer le rendement du service. Et si ce n'est pas dit ironiquement, ça ressemble diablement à une validation du système actuel de délocalisation pour augmentation de rendements, non? Je dois dire que c'est avec ce passage-là que j'ai cessé de croire au "décor" pour me demander si l'auteur ne nous présentait pas une entreprise du type qui fonctionne comme les entreprises devraient fonctionner aujourd'hui pour être efficaces et rentables (et donc en admettant que cette manière de faire est celle qu'il faut adopter).
Ah mais justement.

Ce n'est pas une explication, sauf en creux : les hôtesses ne pètent pas les plombs parce qu'elles ont des conditions de vie très humaines, contrairement aux abaques du marché qui se basent sur un cadre rigide et inhumain.

Tran, qui est le stéréotype du cadre aux dents qui rayent le parquet, et qui a l'empathie d'une huître, voit dans les suicides un échec de cet encadrement « cool » et réagit donc avec violence : les bonnes conditions de travail, ça ne marche pas, donc on laisse tomber, on vire tout le monde et on rentre dans le rang en délocalisant au Maroc, et qu'on ne parle plus de méthodes innovantes. De fait, le rendement serait amélioré par ces méthodes, au détriment de la qualité de vie des salariées.

Le reste de l'histoire est une démonstration, par Audiberti, à Tran, qu'il a tort, que son diagnostic est faux, et que sa « solution » n'en est pas une ; et qu'une partie du succès de Pensez à eux vient de son positionnement haut de gamme (ce qui implique que le rendement pur est moins important que la qualité de service), qui serait mis à mal par l'abandon des méthodes « humaines » de management.

À partir de là, je ne vois pas comment tu peux considérer que c'est une validation du mode de fonctionnement des call-centers « classiques » délocalisés, c'est même plutôt le contraire.

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Cachou
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Message par Cachou » dim. janv. 16, 2011 3:00 pm

Fifokaswiti a écrit :À partir de là, je ne vois pas comment tu peux considérer que c'est une validation du mode de fonctionnement des call-centers « classiques » délocalisés, c'est même plutôt le contraire.
Parce qu'il me semble qu'il y a d'autres passages dans le style qui confirment cette vision (pas forcément de la délocalisation mais de l'intérêt de l'entreprise qui prévaut sur la qualité de vie de ceux qui travaillent pour elle) dans les histoires suivantes en fait. Mais bon, là, c'est très vague dans ma mémoire, parce que j'ai arrêté d'annoter après la première nouvelle (quand je me suis rendue compte que je n'étais plus assez intéressée par l'histoire pour l'annoter), du coup je ne te demande pas de me croire sur parole, n'étant même plus sûre de la chose moi-même, c'est juste l'impression qui m'est restée en refermant le livre. (arch, zut)

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Message par Fifokaswiti » dim. janv. 16, 2011 3:04 pm

Cachou a écrit :Parce qu'il me semble qu'il y a d'autres passages dans le style qui confirment cette vision (pas forcément de la délocalisation mais de l'intérêt de l'entreprise qui prévaut sur la qualité de vie de ceux qui travaillent pour elle) dans les histoires suivantes en fait.
Oui, il y a de ça, bien sûr. De ce point de vue, la résolution de l'histoire d'OGM peut choquer, par exemple. Mais c'est à la fois parce qu'il y a ce thème transverse de la sublimation par l'entreprise (cf les archanges du board, la tour de lumière, etc.) et parce que c'est une vision extrêmement courante dans le management des grosses boîtes. Faire l'impasse dessus aurait été une grosse faute de la part des Kloetzer.

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Message par Cachou » dim. janv. 16, 2011 3:06 pm

Fifokaswiti a écrit :
Cachou a écrit :Parce qu'il me semble qu'il y a d'autres passages dans le style qui confirment cette vision (pas forcément de la délocalisation mais de l'intérêt de l'entreprise qui prévaut sur la qualité de vie de ceux qui travaillent pour elle) dans les histoires suivantes en fait.
Oui, il y a de ça, bien sûr. De ce point de vue, la résolution de l'histoire d'OGM peut choquer, par exemple. Mais c'est à la fois parce qu'il y a ce thème transverse de la sublimation par l'entreprise (cf les archanges du board, la tour de lumière, etc.) et parce que c'est une vision extrêmement courante dans le management des grosses boîtes. Faire l'impasse dessus aurait été une grosse faute de la part des Kloetzer.
Mais juste en profiter pour la critique un tout petit peu au passage? Nan?

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Message par Fifokaswiti » dim. janv. 16, 2011 3:10 pm

Cachou a écrit :Mais juste en profiter pour la critique un tout petit peu au passage? Nan?
Nan − c'est plus sympa de laisser le lecteur constater et se faire sa propre idée. Je trouve.

(de fait, ça convient très bien à Tran, moins à Audiberti.)

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Message par Cachou » dim. janv. 16, 2011 3:28 pm

Fifokaswiti a écrit :
Cachou a écrit :Mais juste en profiter pour la critique un tout petit peu au passage? Nan?
Nan − c'est plus sympa de laisser le lecteur constater et se faire sa propre idée. Je trouve.

(de fait, ça convient très bien à Tran, moins à Audiberti.)
Mais après, le lecteur comme moi (dans le sens qui me ressemble) va croire que c'est une simple acceptation du système hein... ;-p

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Message par MF » dim. janv. 16, 2011 6:34 pm

Fifokaswiti a écrit :Cleer doit se lire à plusieurs niveaux, au moins trois :

1. les aventures de Tran et Audiberti (les histoires en elles-mêmes)
2. la description, le portrait de la situation de cadre dans une boîte du CAC40 (le « corporate »)
3. la partie mystico-métaphysique qui sort du réel (la « fantasie »)
....
Pour aller plus loin il faut en avoir envie, saisir les indices, tout ça. Et c'est bien là le problème de la chronique en question (outre qu'elle est prétentieuse comme pas deux) : en critiquant notamment le jargon anglicisant, le lecteur montre qu'il est passé radicalement à côté du sujet du bouquin.
Faut-il rappeler que les lecteurs ont été choisis pas BW.
Hors les histoires en elle-même (level 1), point de salut...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.

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Message par jlavadou » dim. janv. 16, 2011 9:29 pm

Cachou a écrit :Mais après, le lecteur comme moi (dans le sens qui me ressemble) va croire que c'est une simple acceptation du système hein... ;-p
C'est effectivement le risque d'une telle approche "neutre" (dont les auteurs étaient peut-être conscients), risque confirmé par ton interprétation. J'ai discuté avec des lecteurs qui sont persuadés que les Kloetzer critiquent à travers Cleer le management inhumain des multinationales. Pour ma part je pense comme Fifokaswiti : Cleer n'est ni une apologie ni une critique de ce système. C'est un livre qui raconte une histoire à travers les yeux du système, un système non humain, qui vit par et pour lui-même, et qui ne peut donc avoir comme approche que celle de son efficience maximale.

Je ne sais pas si on peut parler de conscience puisque Cleer ne peut pas être comparé à un être vivant (et peut encore moins être anthropomorphisé), en tout cas Cleer est une entité à part entière dont le seul but est d'atteindre l'excellence et est donc prêt à utiliser tous les moyens, que ceux-ci soient humains ou non. On peut peut-être même considérer que Cleer met à l'épreuve ces deux approches à travers Charlotte et Tran pour voir laquelle est la plus efficace, et composer une solution à base des deux dans diverses proportions. Cleer, c'est un peu l'évolution des êtres vivants, appliquée à l'Entreprise : éliminer les solutions qui ne marchent pas, favoriser celles qui marchent, sans notion de "justice". Un simple réflexe de survie, sans intention.

C'est peut-être le seul message à retenir de Cleer : le fait que le monde de l'entreprise est en train de devenir une entité à part entière, pour laquelle la composante humaine n'est plus qu'un moyen et non une fin (on ne travaille plus vivre, mais on vit pour travailler). Pas de notion de Bien ou de Mal derrière tout ça, juste une constatation.

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Cachou
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Message par Cachou » dim. janv. 16, 2011 9:36 pm

jlavadou a écrit :C'est peut-être le seul message à retenir de Cleer : le fait que le monde de l'entreprise est en train de devenir une entité à part entière, pour laquelle la composante humaine n'est plus qu'un moyen et non une fin (on ne travaille plus vivre, mais on vit pour travailler). Pas de notion de Bien ou de Mal derrière tout ça, juste une constatation.
Mais le genre de constatation qui nous donne envie d'avoir une prise de position...
C'est comme de se retrouver face à un anthropologue qui nous parle d'une société qui tue les enfants non-efficients (pour dire de prendre un exemple qui fera frémir (presque) tout le monde ^_^). Une part en nous a besoin d'une prise de position là où un anthropologue n'en prend pas. Si ce n'est que, de mon côté, même si je comprends la démarche, je l'admet plus facilement dans un aspect documentaire, la neutralité passe un peu moins bien avec moi en fiction quand on aborde des sujets qui me révoltent - parce que ce type d'entreprise est quelque chose qui me révolte donc -, du coup je préfère encore en voir faire l'apologie (pour me positionner contre l'apologue) que d'en voir une description neutre (c'est bizarre, je sais) dans un récit n'ayant pas pour but de donner une vision objective d'une société mais de raconter une histoire dans le cadre de cette société.

Seulement, est-ce que cette vision est réellement neutre ici...?

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Hoêl
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Message par Hoêl » dim. janv. 16, 2011 10:12 pm

Cachou a écrit :
jlavadou a écrit :C'est peut-être le seul message à retenir de Cleer : le fait que le monde de l'entreprise est en train de devenir une entité à part entière, pour laquelle la composante humaine n'est plus qu'un moyen et non une fin (on ne travaille plus vivre, mais on vit pour travailler). Pas de notion de Bien ou de Mal derrière tout ça, juste une constatation.
Mais le genre de constatation qui nous donne envie d'avoir une prise de position...
C'est comme de se retrouver face à un anthropologue qui nous parle d'une société qui tue les enfants non-efficients (pour dire de prendre un exemple qui fera frémir (presque) tout le monde ^_^). Une part en nous a besoin d'une prise de position là où un anthropologue n'en prend pas. Si ce n'est que, de mon côté, même si je comprends la démarche, je l'admet plus facilement dans un aspect documentaire, la neutralité passe un peu moins bien avec moi en fiction quand on aborde des sujets qui me révoltent - parce que ce type d'entreprise est quelque chose qui me révolte donc -, du coup je préfère encore en voir faire l'apologie (pour me positionner contre l'apologue) que d'en voir une description neutre (c'est bizarre, je sais) dans un récit n'ayant pas pour but de donner une vision objective d'une société mais de raconter une histoire dans le cadre de cette société.

Seulement, est-ce que cette vision est réellement neutre ici...?
Cachou , n'oublie pas que tu ne travailles pas dans ce type de système(enfin , pas encore...) , je suis plutôt d'accord avec les analyse de JLavadou et Fifokaswiti car elles coroborrent , pour ce qui me concerne , l'intérêt du roman : un monde étranger , déshumanisé , qui a sa propre logique.
En cela, je trouve que le bouquin est abouti .Pour le 3ème point qu'évoquait Fifo. (désolé , mais ce pseudo. ne m'évoquant rien , j'ai d mal à le retenir en entier) , j'en viens à me demander s'il ne visait pas à alimenter la fameuse polémique sur l'hypothèse M. ,mais ce serait un énorm troll poilu !
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Message par Cachou » dim. janv. 16, 2011 10:27 pm

Hoêl a écrit : Cachou , n'oublie pas que tu ne travailles pas dans ce type de système(enfin , pas encore...)
Mais je n'ai pas toujours été prof tu sais, j'ai travaillé dans une entreprise comme ça, et j'ai rejeté cette expérience en masse, d'où ma forte réaction quant au sujet et le besoin que j'ai d'une dénonciation de ce système-là. Pour ça qu'un traitement neutre ne me convient pas, à moi personnellement. Tout dépend du lecteur et de son expérience, et si on dit qu'on ne peut comprendre ce système si on n'a été que prof (tu n'as pas été le seul à dire ça - c'est fou quand même, c'est comme si les gens qui étaient profs n'étaient pas susceptibles d'avoir exercé un autre métier que celui-là), alors il faut aussi accepter le fait que, de l'autre côté, quelqu'un qui connaît le système - et le rejette - puisse ne pas arriver à adhérer à un traitement neutre en ce qui le concerne (surtout quand la neutralité n'a pas été perçue comme telle ^_^).

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Message par malkus » lun. janv. 17, 2011 10:35 am

jlavadou a écrit :
Cachou a écrit : Cleer n'est ni une apologie ni une critique de ce système. C'est un livre qui raconte une histoire à travers les yeux du système, un système non humain, qui vit par et pour lui-même, et qui ne peut donc avoir comme approche que celle de son efficience maximale.

[...]

C'est peut-être le seul message à retenir de Cleer : le fait que le monde de l'entreprise est en train de devenir une entité à part entière, pour laquelle la composante humaine n'est plus qu'un moyen et non une fin (on ne travaille plus vivre, mais on vit pour travailler). Pas de notion de Bien ou de Mal derrière tout ça, juste une constatation.
Pour le premier point, on peut se demander quelles sont les limites, sur le plan du récit, d'un tel système représenté pour ce qu'il est, soit à travers ses yeux. La prise de position aurait été des plus lourdes, c'est certain, cela dit, cette neutralité pose problème. Outre le fait que l'esthétique m'ait plu, ce qui est déjà suffisant en soi, je ne considère pas que Cleer apporte quoi que ce soit de nouveau concernant le monde de l'entreprise (voir le deuxième point cité). Ces notions là, sans vouloir jouer au con, on en est quand même revenu depuis longtemps, il me semble. Enfin, on les a intégrées et admises depuis longtemps, voilà ce que je veux dire.

Je trouve que le traitement est intéressant, mais un peu limité de par son ambition première. Si bien que je n'ai pas pu m'empêcher (finalement) de ressentir le bouquin comme une charge froide contre le "monde" tel qu'il est proposé par les grandes (et moins grandes) multinationales. J'ai aussi bien perçu le type d'accomplissement dans l'oubli, vers une hypothétique lumière, représentée par les valeurs inverses (ou inhumaines, a-humaines pour reprendre d'autres termes), donc le roman tient sa logique et sa démonstration.

Ce que j'ai trouvé le plus réussi, ce sont les basculements psychiques de Charlotte, et les situations de dénuement dans lesquelles elle se retrouve, alors qu'elle bute contre l'arrivisme de Vinh et ses tendances mégalomanagériales. J'ai apprécié sa problématique de départ, les images qu'elle fuit et qui la minent, qui possèdent une certaine force d'impact.
Puis ça se noie plus en aval dans son vécu "corporate", ou elle a franchement déserté le port d'attache du quotidien et sa normopathie ; ce qui devient plus obscur, mais pas forcément moins intéressant. Explicite d'une autre manière pour les enjeux du récit, moins pour la démonstration.

Quant à Vinh, je ne l'ai pas trouvé si caricatural que ça, en ce sens qu'il cotoie une autre dimension de l'engagement, il est clairement de l'autre côté de la barrière, tout en "efficacité" telle qu'on pourrait la fantasmer ; telle qu'elle ne sera jamais possible dans la vie véritable.

Je me demande si, tout en reconnaissant les travers du système, les auteurs ne seraient pas fascinés par l'option Vinh, ou n'en auraient pas fait l'expérience de façon plus ou moins prolongée. A moins que ce ne soit moi que cela fascine. Difficile de ne pas parler de soi en voulant parler des autres !
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Message par Fifokaswiti » lun. janv. 17, 2011 8:06 pm

Hoêl a écrit :Pour le 3ème point qu'évoquait Fifo. (désolé , mais ce pseudo. ne m'évoquant rien , j'ai d mal à le retenir en entier) , j'en viens à me demander s'il ne visait pas à alimenter la fameuse polémique sur l'hypothèse M. ,mais ce serait un énorm troll poilu !
(Personne ne retient ce pseudo. C'est ce qui en fait son intérêt. (Outre le fait que je peux expliquer très sérieusement que c'est un prénom traditionnel dans les sociétés du Gondwana septentrional.))

Je tiens à signaler que si j'ai évoqué le terme de métaphysique plus haut, ce n'est pas pour alimenter la polémique (je m'en moque un brin, de savoir si la SF est le refuge de la métaphysique ou non), mais parce que je pense sincèrement, naïvement, que cette dimension (transcendance / sublimation) est présente dans le bouquin.

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Message par Oph » lun. janv. 17, 2011 8:08 pm

Fifokaswiti a écrit :
Hoêl a écrit :Pour le 3ème point qu'évoquait Fifo. (désolé , mais ce pseudo. ne m'évoquant rien , j'ai d mal à le retenir en entier) , j'en viens à me demander s'il ne visait pas à alimenter la fameuse polémique sur l'hypothèse M. ,mais ce serait un énorm troll poilu !
(Personne ne retient ce pseudo. C'est ce qui en fait son intérêt. (Outre le fait que je peux expliquer très sérieusement que c'est un prénom traditionnel dans les sociétés du Gondwana septentrional.))
Moi je sais ce que veut dire Fifokaswiti ! :D

C'était le hors-sujet du jour, vous pouvez reprendre une activité normale.
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Message par Hoêl » lun. janv. 17, 2011 11:31 pm

Fifokaswiti a écrit :
Hoêl a écrit :Pour le 3ème point qu'évoquait Fifo. (désolé , mais ce pseudo. ne m'évoquant rien , j'ai d mal à le retenir en entier) , j'en viens à me demander s'il ne visait pas à alimenter la fameuse polémique sur l'hypothèse M. ,mais ce serait un énorm troll poilu !
(Personne ne retient ce pseudo. C'est ce qui en fait son intérêt. (Outre le fait que je peux expliquer très sérieusement que c'est un prénom traditionnel dans les sociétés du Gondwana septentrional.))

Je tiens à signaler que si j'ai évoqué le terme de métaphysique plus haut, ce n'est pas pour alimenter la polémique (je m'en moque un brin, de savoir si la SF est le refuge de la métaphysique ou non), mais parce que je pense sincèrement, naïvement, que cette dimension (transcendance / sublimation) est présente dans le bouquin.
D'accord , la métaphysique est effectivement présente dans le bouquin , mais , plus sérieusement (ou non) , consentirais-tu à m'éclairer sur le sens de ton pseudo ?
Pour le mien , c'est mon nom de famille et , accessoirement , un prénom breton qui affubla des personnages historiques et légendaires de la petite Bretagne .
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