bormandg a écrit :
C'est là qu'on retombe sur l'absurdité de prétendre adapter une langue à des principes qui n'ont effectivement rien à voir avec l'histoire de la dite langue, et sur la stupidité des pseudos-noms féminins de métiers...
Tu mélanges plusieurs choses. Qu'on crée des mots, des féminisations, qu'on tente d'établir une terminologie pour traduire une réalité qui change, c'est normal. Après, c'est la pratique, l'usage qui décide.
En clair, qu'un comité théodule lance le mot "écrivaine", c'est bien, c'est normal, après, ce sont aux gens de décider si ça leur plaît ou pas. Ca disparaîtra ou s'étendra.
Même le latin d'Eglise crée des nouveaux termes.