Herbefol a écrit :Lensman a écrit :J'ai vraiment l'impression que nous ne nous comprenons pas...
J'avoue ne pas saisir ce que tu reproches à ce foutu glossaire. Tu n'en as pas l'utilité, très bien. D'autres y ont trouvé un intérêt, tant mieux.
Ce n'est pas tant le glossaire qui m'énerve (en lui-même, il est hilarant), mais le fait que ceux qui l'ont conçu ont fait n'importe-quoi.
Je n'en aurais pas reparlé (promesse d'ivrogne, me rétorquera-t-on… ayez des amis !), si la dernière critique mentionnée sur le fil n'y avait pas trouvé des qualités ! ( un "bonus"!). Pour moi, c'est gâcher du papier et prendre les lecteurs pour des imbéciles (l'auteur n'en étant pas responsable!). Note bien que je ne dis pas que ceux qui le consultent sont des imbéciles, je dis seulement qu'ils n'en ont aucun besoin pour comprendre de quoi il s'agit, et que s'il n'avait pas été là, ils s'en seraient passé sans problème. Et dans le cas, terrible, où effectivement l'incertitude sur le sens d'un mot ou une expression aurait été insupportable, le lecteur aurait pu aller consulter un dico ou Wikipédia. (Comme il pourrait le faire pour enfin savoir enfin qui diable est ce Shakespeare cité à tout bout de champ!)
Mais j'admets qu'il n'y a pas se polariser sur le glossaire (non imaginé par l'auteur, comme on l'a précisé). Ce n'est pas la raison pour laquelle j'ai trouvé le début (bien avancé) de ce roman ennuyeux et mal fichu (au moins pour les 340 première pages de la première partie...)
Il se peut que je perde quelque chose en ne lisant pas la suite, et ma critique serait peut-être moins négative si je lisais tout, c'est possible... Je ne le saurai jamais (sauf si on me propose une somme rondelette pour lire la suite, car je suis vénal!). Un roman auquel je n'accroche pas au bout d'autant de pages, je décide que c'est un roman qui ne me plais pas. J'assume la faiblesse de ma position critique à ce niveau...
Enfin, pour ne pas être négatif, je recommande la lecture de
La Séparation de Priest. C'est tout aussi documenté sur la période que
Black-Out, les personnages ont une profondeur psychologique qui rend beaucoup de points (vraiment beaucoup...) à celle des personnages de Connie Willis, et c'est vraiment surprenant... le genre de truc pour amateur de SF, quoi...
Oncle Joe