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ou pas.bormandg a écrit :On peut déplorer que Werber brouille l'image publique de la SF
Curieux! J'ai la même impression aussi! C'est vrai que tout le monde a tendance à être d'accord, en ce moment!CitronMeringue a écrit :Je ne sais pas : à chaque fois que je suis tombée sur du catch, j'ai vu des messieurs bedonnants et ridicules.dracosolis a écrit :non ma choute, c'est le catch que tu aimes^^CitronMeringue a écrit :Au fait, tous ces posts répondent à qui ? quoi ?
Parce que tout le monde a l'air de se congratuler d'être d'accord, mais, moi, perso, dans les débats, j'aime le contradictoire...
Il EST! N'en parle pas au passé, ce serait trop triste! Tu sais que les premières aventures du Concombre Masqué sont parues dans "Pif"?Hoêl a écrit :Ouaip , je me souviens du Concombre masqé de Mandryka , quel catcheur il aurait fait !dracosolis a écrit :et puis le masque ça rajoute du piquant
Pour le faire comprendre, ni le nom de Werber, ni celui de "Club" n'ont à être prononcé. Si on les prononce, même pour critiquer, l'amalgame sera fait et ceux qui critiqueront seront simplement vu parle public comme des jaloux. si j'étais le public, d'ailleurs, c'est bien l'impression que j'aurais...bormandg a écrit : Le "Club de l'Imaginaire" est un défi à relever: faire comprendre au public que ce sont des voleurs et que leur oeuvre est insuffisante. Pas en polémiquant: en écrivant des oeuvres meilleures que les leurs et en les faisant apprécier.
Show, don't tell.Lensman a écrit :Par ce que l'on fait, pas parce que l'on dit des autres.
"Aider " les critiques? Un critique, c'est un critique. S'il est compétent, il n'a pas à être aidé. Si c'est un critique qui ne sait pas chercher et trouver ce qui est censé l'intéresser tout seul, il est sans valeur à la base, et c'est perdre son temps que de se mêler de son incompétence.Don Lorenjy a écrit :Show, don't tell.Lensman a écrit :Par ce que l'on fait, pas parce que l'on dit des autres.
Ce qui n'empêche pas d'aider ceux dont le boulot est de "tell" de le faire correctement : les média, les critiques... L'article de Jourde me paraissait aller dans ce sens.
Théoriquement très vrai. Dans la pratique, chaque fois fois que je demande comment on va faire pour avoir un article dans tel support ou atteindre tel critique, on me répond "Ben... on a envoyé un SP, mais ça sert à rien, on a pas le réseau."Lensman a écrit : "Aider " les critiques? Un critique, c'est un critique. S'il est compétent, il n'a pas à être aidé. Si c'est un critique qui ne sait pas chercher et trouver ce qui est censé l'intéresser tout seul, il est sans valeur à la base, et c'est perdre son temps que de se mêler de son incompétence.
Tout à fait d'accord. Cela dit, s'il fallait faire passer cette idée qu'"on a les dieux qu'on mérite" auprès d'un plus vaste auditoire - car c'est l'idée qui compte, non le sens -, un peu plus de simplicité gagnerait en efficacité pour communiquer sur cet acte de foi et faire mouche : le trio sujet verbe complément se suffisant à lui-même, cela donnerait une séduisante tournure du genre "nous les dieux".dracosolis a écrit :on a les dieux qu'on mérite
Non, quand on n'a pas de réseau, c'est juste que l'antenne est trop loinDon Lorenjy a écrit :Théoriquement très vrai. Dans la pratique, chaque fois fois que je demande comment on va faire pour avoir un article dans tel support ou atteindre tel critique, on me répond "Ben... on a envoyé un SP, mais ça sert à rien, on a pas le réseau."Lensman a écrit : "Aider " les critiques? Un critique, c'est un critique. S'il est compétent, il n'a pas à être aidé. Si c'est un critique qui ne sait pas chercher et trouver ce qui est censé l'intéresser tout seul, il est sans valeur à la base, et c'est perdre son temps que de se mêler de son incompétence.
Un réseau, ça se construit. Ce n'est pas sale. C'est même le boulot des attachés de presse.
Je n'ai pas de chiffres, peut-être que "on a pas le réseau" est un phénomène récent. Mais ça fait peut-être aussi partie du problème.