C'est pas moi qui ai écrit le mot "explicitement" après "revendiquer". Donc, NON, je ne revendique RIEN. Je n'écris pas en hommage à HPL, AEVV ou RAH, je n'écris pas en hommage à Spitz, Renard ou quoi que ce soit d'autre, et ne prétends pas non plus écrire autre chose que de la SF.bormandg a écrit : Si tu réponds seulement à ce que tu as décidé de prétendre avoir lu pour mieux le rejeter, comme quoi je prétendrais ne conduire QUE en regardant dans le rétroviseur ou n'écrire QUE en me référant aux grands anciens, tu ne réponds qu'à toi-même, mais pas à ce que j'ai écrit et que tu as déformé avant de le lire.
Que cela fasse de moi un médiocre auteur de SF, admettons, je m'en fous, mais qu'on prétende pas énoncer A MA PLACE, les auteurs dont je pourrais m'inspirer explicitement. Ce que tu fais. Tu prétends parler au nom des auteurs, comme s'ils jouaient à un jeu qui consiste à balancer une liste de noms illustres avant d'écrire.
"Don't let the past be you straitjacket", tu dois savoir d'où cette phrase est tirée, non ?
Dans "les 100 chefs d'oeuvres incontournable de l'imaginaire" rédigé par Eric Holstein, Thibaud Eliroff et Jérôme Vincent, chaque auteur est identifié par son "genre". A Philippe Curval, à la rubrique "genre", il y a marqué "Philippe Curval". C'est ce qui peut arriver de mieux à un écrivain, que d'arriver à un point où on est un genre à soi tout seul. Ca n'est pas rejeter le passé, c'est juste suivre sa propre voie/voix.