C'est bizarre, il y a plein de trucs qui sont réédités en "droits réservés", et l'Etat n'a pas l'air de dire grand chose. Comment ça se fait?JDB a écrit :Dit plus élégamment, lorsqu'on a affaire à une succession en déshérence, c'est effectivement l'Etat, plus précisément le Service des Domaines, qui gère le patrimoine du défunt -- dont ses droits d'auteur si c'est un écrivain.Fabien Lyraud a écrit :Ce n'est pas l'état qui encaisse les droits dans ce cas là ?
Il me semble que la regrettée Nathalie Henneberg est dans ce cas de figure.
L'enquiquinement, c'est quand on a affaire à des agents timorés qui ne veulent pas prendre de décision par méconnaissance des usages de l'édition et préfèrent laisser péricliter une œuvre que d'autoriser sa réédition.
Dans ce cas-là, une seule solution, comme dit Eons : patienter soixante-dix ans.
Et hanter les bouquinistes.
JDB
Oncle Joe