On fait un truc pour la 100e?MF a écrit :Et on n'a même pas encore commencé le procès en dissolution de l'auteur de la préface...Eons a écrit :Argh ! 75 pages !
Dans la série des sous-fils dérivés destinés notamment à combler (j'avais mis "parfaire", lapsus révélateur...) mes déficiences en matière de concept, peut-on m'éclairer sur l'articulation entre le non-déterminisme quantique, qui est une chose, avec "une bonne entrée en matière psychologique au monde dans lequel on vit", comme le suggère Lem? Un exemple concret d'attitude envers un problème donné m'intéresserait.
Par ailleurs, une question m'intrigue. Des philosophies différentes du monde, il y en a plusieurs, depuis assez longtemps. En quoi serait-il pertinent de lier son choix de philosophie à une interprétation de la mécanique quantique ? En quoi l'interprétation des lois de la physique quantique aurait-elle une pertinence particulière sur le choix de la philosophie de la vie?
Supposons (c'est de la SF...) que les résultats actuels en physique quantique se trouvent plus tard (dans 20 ans, par exemple) interprétés de manière radicalement différente suite à une percée conceptuelle tout à fait inattendue (et compliquée à comprendre, sinon ce serait trop simple) qui amènerait à souscrire à un "ultra-déterminisme" (ou autre chose, d'ailleurs) dans ce domaine? Est-ce qu'il faudrait que, brusquement, on rechange de philosophie de la vie? Cet manière "mécanique" de lier la philosophie aux sciences physiques me déconcerte un peu.
Systar, comment qualifierais-tu ce type de philosophie, qui lierait ses principes à des interprétations de lois observées dans un domaine particulier de la connaissance scientifique? (ici, la mécanique quantique, mais ça pourrait être la biologie, les mathématiques (ça ferait très mal...), etc.)
Oncle Joe