Le Magasin des suicides

Bande-annonce :
L’écran fantastique : « [Patrice Leconte] parvient à faire vivre [le roman de Jean Teulé] dans une mise en scène maîtrisée, sur un scénario tenu (...). Mais au final, le déroulement du récit s'avère hélas sans surprise. »
Le Canard enchainé : « Le dessin animé de Patrice Leconte est raté : gags répétitifs, chansons fades, animation minimaliste. »
Excessif : « Si la mise en scène du cinéaste parvient à habiller le roman original avec subversion et élégance, les choix scénaristiques manquent quant à eux d'un grain de folie pour remporter totalement l'adhésion. »
Le Monde : « Plus le film avance, plus il rosit, ce qui n'est pas forcément le signe d'une bonne santé, d'ailleurs l'hémorragie de sang d'encre finit par anémier un film qui reste quand même un objet d'étonnement et - par moments - d'admiration. »
Les Inrockuptibles : « malgré des gags plutôt amusants et certains dialogues enlevés, le cinéaste a dénaturé l’œuvre originale, remplaçant la conclusion tragique par un final dégoulinant destiné à ratisser le plus large possible. »
Resident Evil: Retribution

Bande-annonce :
Slasherhouse : « Resident Evil: Retribution se place donc parmi les meilleurs volets de la saga (si tant est que l’on puisse réellement parler de « meilleur »), du moins en terme d’action, l’écriture restant assez sommaire. »
Devildead : « Totalement bourrin, complètement poseur, Resident evil : retribution a au moins le mérite de vous en donner pour votre argent avec un divertissement sûrement un poil trop régressif mais assurément décomplexé. »
Excessif : « Au final, il faut bien avouer qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien avec un produit aussi décérébré. »
Le Canard enchainé : « Paul W.S. Anderson malmène Milla Jojovitch, mais elle sait se défendre, la bougresse. Et le latex lui va si bien… »
Les Inrockuptibles : « le film amuse par endroits lorsqu’il épouse le rythme archaïque des vieux jeux d’arcade. »
Le Monde : « Cinq transpositions au cinéma plus tard, l'adaptation du célèbre jeu vidéo est toujours aussi saisissante de nullité : scénario inexistant et néanmoins répétitif, situations absurdes et pourtant incohérentes, personnages caricaturaux et transparents. A un tel degré, c'est une prouesse, de celles dont on se passe aisément. »
Sylvain Fontaine