Spike et Drusilla : Petits massacres entre Vampires est un roman dérivé de la série Buffy, l'un de ceux qui ne reprennent pas les épisodes déjà existants.
Nous savions que Spike était un dandy exterminateur de tueuses. A la hauteur de sa réputation, bien plus que dans la série où son personnage a pris une perspective comique des plus étranges, Spike décide de continuer sa grande quête du plaisir et de la destruction avec sa compagne Drusilla, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Ayant promis à sa dulcinée un bijou lui permettant de se voir dans les miroirs et de prendre l'aspect de ses victimes, il devra exterminer toutes les apprenties tueuses protégées par le conseil pour le récupérer.
Pas trop mauvais
Bon, Spike et Dru sont très méchants, c'est entendu. Ils passent leurs temps à tuer, faire l'amour en se mutilant à moitié et à balancer des réparties mystiques et cyniques à leurs ennemis. On apprend en vrac dans ce roman que Spike a gardé une nostalgie pour l'Angleterre, que le Conseil cache, dans son très british petit salon, toute une horde de vieillards grabataires mais néanmoins très puissants, que les apprenties Tueuses sont repérées dans à peu près tous les pays du monde et que les nazis ne sont ni méchants ni bons pour les vampires, du moment qu'ils se laissent boulotter.
Ca va saigner...
Christopher Golden édulcore moins les morts que les scénaristes de la série. Beaucoup de détails sanguinolents, pas mal de cruauté, quelques répétitions, et l'on découvre que des gamines de quatorze ans peuvent se faire crucifier ou décapiter par les deux héros secondaires du Buffy contre les vampires. On apprend aussi la précarité du métier de Tueuse (même les super héros ont leurs problèmes, selon l'expression consacrée) et comment elle se révèle douée de pouvoirs surhumains par une force mystique qu'on nous garde bien de nous expliquer. Toujours pour les fans, avec un petit plus.
Nous savions que Spike était un dandy exterminateur de tueuses. A la hauteur de sa réputation, bien plus que dans la série où son personnage a pris une perspective comique des plus étranges, Spike décide de continuer sa grande quête du plaisir et de la destruction avec sa compagne Drusilla, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Ayant promis à sa dulcinée un bijou lui permettant de se voir dans les miroirs et de prendre l'aspect de ses victimes, il devra exterminer toutes les apprenties tueuses protégées par le conseil pour le récupérer.
Pas trop mauvais
Bon, Spike et Dru sont très méchants, c'est entendu. Ils passent leurs temps à tuer, faire l'amour en se mutilant à moitié et à balancer des réparties mystiques et cyniques à leurs ennemis. On apprend en vrac dans ce roman que Spike a gardé une nostalgie pour l'Angleterre, que le Conseil cache, dans son très british petit salon, toute une horde de vieillards grabataires mais néanmoins très puissants, que les apprenties Tueuses sont repérées dans à peu près tous les pays du monde et que les nazis ne sont ni méchants ni bons pour les vampires, du moment qu'ils se laissent boulotter.
Ca va saigner...
Christopher Golden édulcore moins les morts que les scénaristes de la série. Beaucoup de détails sanguinolents, pas mal de cruauté, quelques répétitions, et l'on découvre que des gamines de quatorze ans peuvent se faire crucifier ou décapiter par les deux héros secondaires du Buffy contre les vampires. On apprend aussi la précarité du métier de Tueuse (même les super héros ont leurs problèmes, selon l'expression consacrée) et comment elle se révèle douée de pouvoirs surhumains par une force mystique qu'on nous garde bien de nous expliquer. Toujours pour les fans, avec un petit plus.