Dans les derniers mois tourmentés de l'ancienne version de Galaxies, le numéro 41 n'avait tout simplement jamais vu le jour, le numéro 42 finissant par lui passer devant avant que la revue ne s'arrête... puis renaisse de ses cendres avec un nouveau capitaine à la barre, Pierre Gévart, une nouvelle équipe et une nouvelle structure (l'association qui publie également le fanzine Géante Rouge). Choisissant une double numérotation, le premier numéro de Galaxies Nouvelle Série était également le numéro 43 de l'ancienne série (tout le monde suit ?). Pour autant, toujours pas de numéro 41. L'absence est désormais comblée avec ce numéro spécial qui est en fait une sorte d'anthologie autour du chiffre 41 avec un sommaire exclusivement francophone, brassant des auteurs connus et d'autres faisant quasiment leurs premiers pas.
Sommaire varié.
Avec quarante et une courtes nouvelles et illustrations, ce sommaire puise sa force dans sa diversité. On ne pourra pas les citer tous, mais parmi les meilleurs récits on recommandera par exemple la fausse autobiographie de Bucky 41 Malone, sorte de boxeur assisté d'armures mécaniques, de Xavier Mauméjean. On conseillera aussi La guerre de 41 minutes de Jean-Michel Calvez, un récit déroutant avec des montres et horloges qui sautent littéralement les 19 dernières minutes de chaque heure. Parmi les plus intrigant, on notera la poésie de Sirius m'était compté de Sylvie Lainé ou la fièvre acheteuse de 41 images/secondes de JB Roman avec ses hordes de clients se précipitant dans les magasins.
Avec Ben, Fabien Clavel a lui choisit un texte très touchant sur l'oppression et les opprimés tandis qu'Ariane Gélinas s'est, elle, penchée sur les viols en série en temps de guerre avec La Fille de Tantale. Jean-François Seignol et Anne Lanièce on de leur côté mélangé le thème 41 avec des sorcières pour un texte entre histoire et fiction très recommandable. On retiendra aussi Fahrenheit 41 de Jean-François Thomas, un nouvelle « classique » de SF tout comme la réécriture science fictionnesque d'Ali Baba de François Manson avec Le Quarante-et-unième Voleur. Et dans cette attribution de satisfecit, n'oublions pas la violence saisissante de Feuillets ramassés dans les décombres de Berlin de Meddy Ligner et la drolatique Immortels de Jean-Jacques Reigner.
Une absence réparée sans être indispensable.
En plus de rendre heureux les lecteurs, ce numéro 41 contient de jolis petits textes, malheureusement souvent trop courts pour être vraiment indispensables. Le revers de cette élégant clin d'œil, offrir quarante et un récits en si peu de pages. Mais là n'est pas l'essentiel. Après tout, en ouvrant le sommaire, le lecteur est tout de suite au courant de la brièveté de l'ensemble et pourra même l'occasion découvrir ou redécouvrir quelques auteurs qu'il faudra suivre par la site. Et puis, quoiqu'on en dise, l'absence est réparée et d'une manière plutôt correcte. C'est le principal.
Sommaire varié.
Avec quarante et une courtes nouvelles et illustrations, ce sommaire puise sa force dans sa diversité. On ne pourra pas les citer tous, mais parmi les meilleurs récits on recommandera par exemple la fausse autobiographie de Bucky 41 Malone, sorte de boxeur assisté d'armures mécaniques, de Xavier Mauméjean. On conseillera aussi La guerre de 41 minutes de Jean-Michel Calvez, un récit déroutant avec des montres et horloges qui sautent littéralement les 19 dernières minutes de chaque heure. Parmi les plus intrigant, on notera la poésie de Sirius m'était compté de Sylvie Lainé ou la fièvre acheteuse de 41 images/secondes de JB Roman avec ses hordes de clients se précipitant dans les magasins.
Avec Ben, Fabien Clavel a lui choisit un texte très touchant sur l'oppression et les opprimés tandis qu'Ariane Gélinas s'est, elle, penchée sur les viols en série en temps de guerre avec La Fille de Tantale. Jean-François Seignol et Anne Lanièce on de leur côté mélangé le thème 41 avec des sorcières pour un texte entre histoire et fiction très recommandable. On retiendra aussi Fahrenheit 41 de Jean-François Thomas, un nouvelle « classique » de SF tout comme la réécriture science fictionnesque d'Ali Baba de François Manson avec Le Quarante-et-unième Voleur. Et dans cette attribution de satisfecit, n'oublions pas la violence saisissante de Feuillets ramassés dans les décombres de Berlin de Meddy Ligner et la drolatique Immortels de Jean-Jacques Reigner.
Une absence réparée sans être indispensable.
En plus de rendre heureux les lecteurs, ce numéro 41 contient de jolis petits textes, malheureusement souvent trop courts pour être vraiment indispensables. Le revers de cette élégant clin d'œil, offrir quarante et un récits en si peu de pages. Mais là n'est pas l'essentiel. Après tout, en ouvrant le sommaire, le lecteur est tout de suite au courant de la brièveté de l'ensemble et pourra même l'occasion découvrir ou redécouvrir quelques auteurs qu'il faudra suivre par la site. Et puis, quoiqu'on en dise, l'absence est réparée et d'une manière plutôt correcte. C'est le principal.