Johan Heliot est né à Besançon le 23 juillet 1970. Auteur de plusieurs romans de science fiction, il a publié notamment aux éditions Mnémos des uchronies d'ambiance steampunk comme La lune seule le sait ou La lune n'est pas pour nous.
Il se tourne de plus en plus vers la littérature jeunesse avec des livres comme Ados sous contrôle ou Les Vagabonds de l'Entremonde.
Avec Le Tempestaire, il signe une nouvelle série de fantasy pour la jeunesse.
Tempestaire pas un métier facile
Haggis, Maître des Innocents, vient une fois de plus de récupérer un bébé abandonné par ses parents. Il semble que ce jeune enfant est promis à un grand avenir.
Maîtrisant un don de persuasion exceptionnel, il commande sa "confrérie" avec force et dureté. Haggis est doté de ce talent rare et il le maîtrise à la perfection.
C'est en recueillant les jeunes enfants particulièrement doués et en leur imposant sa loi qu'il arrive à exploiter au mieux leurs capacités, ce qui lui permet de gagner la mainmise sur le Quartier Gueux de Rédemption.
Jed est donc une nouvelle recrue et sûrement sa plus belle trouvaille. Les éléments semblent en effet réagir en fonction de ses humeurs et émotions. Les tempêtes se déchainent au rythme de ses affections. Il va devenir l'enjeu d'une lutte sans merci entre les mystérieux Directeurs de la Compagnie (Maîtres de la ville) et la Matrone des Naufrageurs.
Celle-ci est une très ancienne créature et va révéler au garçon l'usage de son talent de tempestaire.
Aidé de ses amis, Jed va devoir démêler l'écheveau des secret sde sa naissance mais aussi ceux des terribles et dangereux Directeurs de la Compagnie.
Entre fantasy et steampunk
Johan Heliot nous emporte une fois de plus dans ses univers, entre la fantasy pure et le style steampunk. Dans la ville tentaculaire qu'est Rédemption (la bien nommée), il bouscule les principes de ce style d'écriture. Une aventure au goût d'embruns et de goudron mais aussi de complots et vengeance familiale. L'intrigue reste très classique mais les personnages sont souvent envoutants et mystérieux.
Une jolie galerie, dépeinte avec beaucoup de bonnes idées, donne à l'histoire un côté sombre et une ambiance particulièrement réussie.
Parmi mes personnages fétiches figure Haggis et ses masques mais aussi un certain Monsieur Chandaigne mercenaire, tireur d'élite et grand philosophe.
Le récit recèle lui aussi de bonnes idées comme les dons des héros. Même si certains restent très stéréotypés, d'autres offriront de belles surprises et rebondissements pour le plus grand plaisir des lecteurs.
L'auteur nous offre une oeuvre bien écrite avec un style clair et rapide. Une histoire bien construite avec un univers riche et mature.
Sans temps mort, Johan Heliot signe donc un nouveau roman dédié à la jeunesse qui devrait y trouver son compte de bons moments.
Il se tourne de plus en plus vers la littérature jeunesse avec des livres comme Ados sous contrôle ou Les Vagabonds de l'Entremonde.
Avec Le Tempestaire, il signe une nouvelle série de fantasy pour la jeunesse.
Tempestaire pas un métier facile
Haggis, Maître des Innocents, vient une fois de plus de récupérer un bébé abandonné par ses parents. Il semble que ce jeune enfant est promis à un grand avenir.
Maîtrisant un don de persuasion exceptionnel, il commande sa "confrérie" avec force et dureté. Haggis est doté de ce talent rare et il le maîtrise à la perfection.
C'est en recueillant les jeunes enfants particulièrement doués et en leur imposant sa loi qu'il arrive à exploiter au mieux leurs capacités, ce qui lui permet de gagner la mainmise sur le Quartier Gueux de Rédemption.
Jed est donc une nouvelle recrue et sûrement sa plus belle trouvaille. Les éléments semblent en effet réagir en fonction de ses humeurs et émotions. Les tempêtes se déchainent au rythme de ses affections. Il va devenir l'enjeu d'une lutte sans merci entre les mystérieux Directeurs de la Compagnie (Maîtres de la ville) et la Matrone des Naufrageurs.
Celle-ci est une très ancienne créature et va révéler au garçon l'usage de son talent de tempestaire.
Aidé de ses amis, Jed va devoir démêler l'écheveau des secret sde sa naissance mais aussi ceux des terribles et dangereux Directeurs de la Compagnie.
Entre fantasy et steampunk
Johan Heliot nous emporte une fois de plus dans ses univers, entre la fantasy pure et le style steampunk. Dans la ville tentaculaire qu'est Rédemption (la bien nommée), il bouscule les principes de ce style d'écriture. Une aventure au goût d'embruns et de goudron mais aussi de complots et vengeance familiale. L'intrigue reste très classique mais les personnages sont souvent envoutants et mystérieux.
Une jolie galerie, dépeinte avec beaucoup de bonnes idées, donne à l'histoire un côté sombre et une ambiance particulièrement réussie.
Parmi mes personnages fétiches figure Haggis et ses masques mais aussi un certain Monsieur Chandaigne mercenaire, tireur d'élite et grand philosophe.
Le récit recèle lui aussi de bonnes idées comme les dons des héros. Même si certains restent très stéréotypés, d'autres offriront de belles surprises et rebondissements pour le plus grand plaisir des lecteurs.
L'auteur nous offre une oeuvre bien écrite avec un style clair et rapide. Une histoire bien construite avec un univers riche et mature.
Sans temps mort, Johan Heliot signe donc un nouveau roman dédié à la jeunesse qui devrait y trouver son compte de bons moments.